L’école digitale, une éducation à construire et à vivre
Eric Bruillard et Joël Boissière réalisent dans ce livre un état des lieux de l’éducation par, avec et sur le numérique.
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Eric Bruillard et Joël Boissière réalisent dans ce livre un état des lieux de l’éducation par, avec et sur le numérique.
Michel Debon de Beauregard, enseignant retraité, ancien militant syndical et toujours impliqué dans les actions de Solidarité laïque, témoigne sur un engagement constant pour l’éducation partout dans le monde, une éducation au sens large, ouverte et émancipatrice.
Comment apprendre aux élèves à retenir ce qu’ils ont appris? Sur quoi appuyer la mémoire? Le par cœur est-il utile, incontournable, dépassé? Une sélection de six articles très pratiques pour réfléchir et adapter ses pratiques!
Un certain candidat à l’élection présidentielle a récemment estimé que les enfants en situation de handicap devraient être scolarisés dans des établissements spécialisés, dénonçant une « obsession de l’inclusion ». Nous rappelons ici pourquoi il est important au contraire de maintenir le principe de l’inclusion scolaire, sans nier les difficultés ni négliger le chemin qui reste à faire.
Mal reconnue, bien qu’obligatoire à tous les niveaux, l’EPS contribue à l’acquisition du socle commun, donne accès à des pratiques motrices et à la culture physique, sportive et artistique, tient une place de choix dans l’entretien de la santé et du bienêtre, contribue à l’égalité entre les filles et les garçons et à l’inclusion.
Quelles sont les écoles qui réussissent à enseigner l’EPS à la hauteur des attendus des programmes, à considérer l’EPS comme une discipline aussi importante que les autres, à faire en sorte que les activités physiques, sportives et artistiques (APSA) participent à la dynamique du projet d’école ? Résultats d’une enquête auprès de ces écoles vitaminées en EPS.
La création d’une chorégraphie est, comme on l’imagine, faite d’improvisations, d’inventivité, d’émotions. C’est aussi le fruit d’apprentissages nombreux et rigoureux, en compagnie d’œuvres du patrimoine qu’on découvre en chemin.
À quelles conditions l’EPS peut-elle contribuer à un dépassement des stéréotypes dans les apprentissages par corps ? Des réponses de terrain issues de recherches en didactique.
A l’été 2018, une note de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) pointait du doigt la très faible mobilité sociale en France. Si de multiples facteurs contribuent à cet état de fait, notre système éducatif n’y est pas étranger.
Une brève mise en perspective historique permet de dire que nous sommes passés, en quelques décennies, de l’idée de séparation scolaire vers l’intégration, jusqu’à l’école inclusive.
À l’heure où l’EPS (éducation physique et sportive) fête les quarante ans de son intégration à l’Éducation nationale dans le second degré, ce dossier arrive à point nommé. Il montre la complexité et la diversité des apprentissages qui donnent toute son épaisseur à cette discipline, et combien les élèves en ont besoin pour faire face aux enjeux sociétaux contemporains.
« On n’arrive pas au sommet en dépassant les autres mais en se dépassant soi-même. » Voilà le genre de citation que l’on trouve sous une forme ou sous une autre sur différents réseaux. Mais alors, se demande malicieusement Cécile Rossard, professeure d’EPS, « une fois qu’on s’est dépassé soi-même, qu’est-ce qu’on fait ? On s’attend ? ». Et une fois qu’on a atteint le top niveau, on n’a plus qu’à dépérir doucement ?
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