Etat des lieux
Le théâtre ne mérite-t-il pas plus qu’un strapontin à l’école, réservé aux littéraires, aux options et autres dispositifs complémentaires ? À quand le théâtre pour le plus grand nombre ?
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Le théâtre ne mérite-t-il pas plus qu’un strapontin à l’école, réservé aux littéraires, aux options et autres dispositifs complémentaires ? À quand le théâtre pour le plus grand nombre ?
Oui, mais quel théâtre ? Et à quelles conditions ?
Six raisons de travailler le théâtre en classe.
Les réactions que suscite la mise en place d’un menu végétarien hebdomadaire dans les cantines montrent que les enjeux idéologiques et économiques restent puissants, mais le menu veggie progresse et les lignes bougent.
Hormis les menus, on ne sait rien sur les repas servis à la cantine. Sauf à devenir représentante des parents d’élèves et à tester par soi-même ! Témoignage d’une prise de conscience et des actions menées pour améliorer le contenu et le contenant des assiettes des enfants du village.
Comment Mouans-Sartoux, commune des Alpes-Maritimes, est passée au 100 % bio et local dans ses cantines municipales.
Les classes hétérogènes, bonnes pour personne, ni pour les plus forts qui perdent leur temps, ni pour les plus faibles qui ne peuvent rattraper leur retard dans ces classes ? Et si c’était plus compliqué que ça ? Cela valait bien une bonne dose d’antidote ! Les propositions des différents candidats sur l’école se font […]
« Les jeunes d’aujourd’hui ne s’engagent pas à l’exception d’une minorité, ils s’abstiennent aux élections et se replient dans leurs petits réseaux » ; « la jeunesse est formidable, elle s’attaque au vieux monde et est l’espoir d’un monde nouveau ». Autant de clichés simplistes qui sont loin de décrire une réalité bien plus complexe. Aussi lira-t-on avec intérêt le dossier du n°88 de la Revue internationale d’éducation (France Éducation international, ex CIEP) vient de faire paraitre un dossier « (S)’éduquer par l’engagement » coordonné par Valérie Becquet, chercheure à Cergy Paris-Université.
C’est la précampagne présidentielle, les candidats potentiels se positionnent et font part de leurs propositions. En ce qui concerne l’éducation, Valérie Pécresse (candidate à la primaire chez Les Républicains), a déclaré le 12 octobre dernier sur France Bleu Auxerre, à propos des « élèves perturbateurs », qu’il fallait « ne plus les réinscrire dans des établissements normaux où il vont «foutre la pagaille», mais les mettre dans des structures éducatives dédiées ». En contrepoint, voici le récit de la spirale descendante d’un élève puis de sa reconstruction dans un autre établissement.
Lucien Aniesa, président de la Ligue de l’enseignement de l’Aube, a investi les différentes dimensions de l’éducation, au sein de l’école et en dehors. Il nous raconte les enjeux de l’engagement militant aujourd’hui pour l’éducation populaire.
Le terme « pédagogiste » est généralement utilisé dans un sens péjoratif, mais on peut aussi inverser le stigmate et se revendiquer « pédagogiste », c’est-à-dire en recherche et en réflexion sur ses pratiques pour faire réussir tous les élèves. C’est le choix que fait Philippe Watrelot, ancien président du CRAP-Cahiers pédagogiques, avec son livre Je suis un pédagogiste qui parait ce mois-ci chez ESF-Sciences humaines. Il était présent hier aux Rencontres d’été du CRAP à Saint-Maixent-l’École, pour échanger avec les participants autour des questions et propositions qu’il formule dans son livre.
Les voyez-vous, ces enseignantes et ces enseignants, ces chefs d’établissement (au masculin et au féminin), ces conseillers et conseillères principaux d’éducation, épuisés par une année folle, et par le sentiment que leur ministre ne les écoute pas, ne les considère pas, voire les méprise ? Je les vois et je les entends, et je me demande comment cela va finir.
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