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212 résultats de recherche pour : élèves allophones

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Allophone, une hétérogénéité universelle

Le Français Langue Seconde (FLS) représente-t-il une discipline à part, réservée exclusivement à ceux, enfants ou adultes, qui arrivent en France sans maîtriser suffisamment la langue ? A la diversité des publics à qui il s’adresse, aux méthodes, aux ressources qu’il suppose, Catherine Mendonca Dias propose la différenciation pédagogique et gomme la différence dans l’idée qu’elle peut s’appliquer à tous. Rencontre avec une enseignante qui, d’une première expérience de vacataire dans un collège à l’université de la Sorbonne, destine son parcours au français langue seconde.

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De la collecte à l’analyse

Dans le recueil d’expériences qui suit, nous avons souhaité aborder la question de l’observation, activité centrale dans le travail des étudiants sur le terrain, sous différents angles d’entrée. Les textes sont donc proposés dans un ordre qui rappelle quelque peu le cheminement chronologique de l’étudiant dans le module de formation que nous lui proposons : premièrement, il découvre la tâche qui lui incombe et qui, souvent, l’indispose. « Observer ? Je vais m’ennuyer au lieu d’apprendre à enseigner ! » L’étudiant est invité à investir le rôle d’observateur, pour apprendre à décortiquer l’évidence, à analyser ce qui roule, à questionner ce qui dérange (Nancy Bresson). Vient ensuite le contrat de travail sur le terrain (observation, responsabilités partagées, travail en solo) qui est proposé aux formateurs et étudiants : nous demandons aux duos de stipuler les quelques règles qui guideront le travail de compagnonnage. Comment aider l’étudiant à investir complètement ce rôle ? Comment s’assurer que les formateurs de terrain accompagneront l’étudiant dans le travail d’observation et de découverte sur le terrain ? (Andreea Capitanescu Benetti). Suivons alors un étudiant type sur le terrain. Quels questionnements ? Quelles découvertes ? Quelles difficultés ? (Nilima Changkakoti). Finalement, de retour à l’université, jetons un œil au matériau récolté (Valérie Hutter) et voyons comment il est travaillé, décortiqué, investi par les étudiants et les formateurs universitaires (Valérie Vincent). Bonne lecture !

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Un poème qui ne rime pas

Une professeure coordonnatrice d’UPE2A, deux classes dont la 6e d’inclusion des élèves allophones, et, deux ans de suite, le Printemps des poètes. En 2019, le thème est « La beauté ».

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Un changement de paradigme nécessaire

Il n’est sans doute pas illégitime pour certains de se demander aujourd’hui s’il est raisonnable de maintenir au collège et au lycée un enseignement optionnel du latin et du grec au moment où la réflexion sur les rythmes scolaires est relancée, où plusieurs études soulignent la lourdeur des programmes et des connaissances à mémoriser, le trop grand nombre d’options et la trop longue durée de la journée d’un élève français.

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Imiter ou comprendre? Sortir le langage de l’implicite

Ce n’est pas être « en difficulté » que d’avoir besoin d’un enseignement particulier pour comprendre la langue orale de l’école. Un besoin non pris en compte pour des enfants qui ne parviennent pas à apprendre la langue, tant cet apprentissage complexe reste implicite à l’école.

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À l’heure de l’école inclusive

Qu’est-ce qu’être un enseignant « inclusif » ? Un exemple en situation, dans le cadre d’un travail mené avec une classe de 4e en français comprenant des élèves en situation de handicap.

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Imiter ou comprendre? Sortir le langage de l’implicite

Ce n’est pas être « en difficulté » que d’avoir besoin d’un enseignement particulier pour comprendre la langue orale de l’école. Un besoin non pris en compte pour des enfants qui ne parviennent pas à apprendre la langue, tant cet apprentissage complexe reste implicite à l’école.

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L’inclusion généralisée : le grand saut ?

Dans les UPE2A, chaque élève non francophone est systématiquement inscrit dans une classe ordinaire, dès son arrivée. Il bénéficie d’un emploi du temps aménagé. L’élève est donc inclus dans une classe correspondant à sa classe d’âge, même s’il ne maitrise pas le français.

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Des projets solidaires pour embarquer les élèves

Le projet TransiMOOC qui a remporté plusieurs prix, dont un décerné par France Université Numérique a démarré en 2013-2014. Il a permis à environ 300 élèves de proposer des cours en ligne pour d’autres jeunes essentiellement sur l’Ile-de-France et la région Midi-Pyrénées.

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Melting popote

Lorsque des collégiens du dispositif UPE2A (unité pédagogique pour élèves allophones arrivants) partent en classe de découverte, l’un des enjeux, au-delà du sport, de l’échange et du vivre ensemble, est de leur faire retrouver des racines autour de leur plat préféré. Récit de cette expérience renouvelée durant plusieurs années.