L’entretien

Fatima Ouassak : « Je crois à la puissance des mères »
Fatima Ouassak, politologue et cofondatrice du Front de Mères, première association de parents d'élèves des quartiers populaires, nous parle de son parcours et de ses engagements.

Louis Burton : « Monter sur un bateau, c’est une magnifique école de la vie »
Comment faire de l’intérêt pour la mer, largement partagé par les enfants, une porte d’entrée dans les apprentissages ? Le navigateur Louis Burton retrace pour nous son parcours et son engagement.

Jean Jouzel : « En faire un projet exaltant ! »
Glaciologue et climatologue, Jean Jouzel est désormais une voix essentielle dès lors qu’il est question de réchauffement climatique. Il soutient activement tout ce qui peut contribuer à faire que dans le domaine éducatif aussi, cela devienne « l’affaire du siècle ».

Emmanuel Meirieu : « Émouvoir, c’est mon travail »
Son nom vous dira quelque chose, mais ça n’est pas le sujet, sauf peut-être au début de son aventure. Emmanuel Meirieu est homme de théâtre, metteur en scène touche-à-tout, et surtout aux émotions des personnages et des spectateurs. Il nous raconte son parcours, son métier et ses rencontres avec le public adolescent de ses pièces.

Madeleine Peyroux : «Tout art est au fond une communication entre humains»
Le nom de Madeleine Peyroux, chanteuse de jazz, est synonyme de créativité et de liberté. Nous avons profité de sa récente tournée en France pour lui poser des questions sur l’école aux États-Unis et en France et sur la place de la musique dans l’enseignement. Une place qui devrait être bien plus grande, selon elle.

Jeanne Benameur : « Transmettre l’écriture est un acte politique »
Jeanne Benameur a été enseignante avant de se consacrer à l'écriture. On lui doit de nombreux romans pour adultes, mais aussi pour la jeunesse. Une de ses activités est aussi l'animation d'ateliers d'écriture. Elle a déjà collaboré…

Nathalie Balsan-Duverneuil : «Celle qui n’a pas appris»
Nathalie Balsan-Duverneuil, photographe fondatrice du studio B612 à Montpellier, formatrice, auteure d’un manuel de photographie de référence, nous livre son expérience professionnelle construite sur un chemin de vie, une maison à soi.

Jacques Lecomte : « Donner un message d’espoir, notamment aux jeunes »
Auteur de nombreux livres, dont La bonté humaine ; altruisme, empathie, générosité (Odile Jacob, 2012) et, plus récemment, Le monde va beaucoup mieux que vous ne le croyez ! (Les Arènes, 2017), Jacques Lecomte est un représentant de la psychologie positive qui sait s’adresser à un large public, y compris scolaire. Ses prises de position contre le « catastrophisme » nous ont donné envie de l’interroger.

Michel Ocelot : « Je transmets ce que je sais et que je pense utile »
Présente-t-on Michel Ocelot ? Le réalisateur, auteur de Kirikou, de Princes et Princesses ou encore d'Azur et Asmar, est connu pour ses dessins magnifiques, aux décors foisonnants, et, donc, pour ses films d'animation où tous, petits et grands, trouvent matière à voyager, rêver et réfléchir. Il répond à nos questions, pour un entretien qui défend le plaisir à être ensemble.

Olivier Pillé : « On se forme beaucoup en lisant de mauvais textes ! »
Le monde de l’édition est un milieu professionnel très féminin. La parole est donc donnée à la minorité, représentée ici par Olivier Pillé, 32 ans, éditeur de romans pour la jeunesse aux éditions du Rouergue, dont la vocation est née grâce à des femmes, professeures et éditrices.

David Larose : « C’est important de transmettre et d’apprendre à transmettre »
Après quinze ans de tournois et une participation aux jeux Olympiques de 2012, le judoka David Larose a rejoint les bancs de l’université Paris-Descartes. Une belle revanche pour cet enfant de la DDASS (Direction départementale des affaires sanitaires et sociales) né en Seine-Saint-Denis et non-titulaire du bac.

Camille Besse : « Un dessin de presse, c’est un contenu éditorial fort »
Camille Besse livre depuis quelques mois dans chaque numéro des Cahiers un dessin de presse qui chahute. Elle nous raconte l’école, son métier, qu’elle a commencé à Charlie et qu’elle défend jusque dans les classes où l’on n’était pas toujours Charlie en 2015.