Un projet théâtre en Première S, ça sert à quoi ?
Quel bilan des acquisitions des élèves pendant le projet théâtre, et quel réinvestissement ? Un exemple avec une classe à PAC (projet artistique et culturel) en Première S.
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Quel bilan des acquisitions des élèves pendant le projet théâtre, et quel réinvestissement ? Un exemple avec une classe à PAC (projet artistique et culturel) en Première S.
Des élèves peu reconnus scolairement, qui ne connaissent pas le théâtre ; un projet dont ils sont les acteurs au sens fort, qui fait travailler l’estime de soi, le respect de l’autre, la coopération. Du côté des enseignants, un travail en équipe et une évaluation du processus plus que du résultat.
À l’école, l’activité théâtre qui affranchit du contrat didactique scolaire classique est une opportunité pour créer un espace favorable aux apprentissages. L’optique de monter sur scène est particulièrement mobilisatrice.
L’enseignement de l’EPS dans le premier degré ne va pas de soi. La formation manque pour investir une discipline trop souvent circonscrite à des objectifs de santé. Cécile Gatouillat, conseillère pédagogique départementale en EPS dans l’Hérault, aide les enseignants à concevoir des projets pédagogiques, parfois en coconstruction avec des clubs ou des structures extérieures. Portrait. […]
C’est l’essentiel, et c’est pourtant parfois un angle mort. Travailler ensemble dans un établissement, c’est d’abord rechercher les croisements des enseignements, décloisonner les programmes disciplinaires pour construire les apprentissages comme un tout.
Marianne Lesou, professeur de sciences et vie de la Terre (SVT), mise sur l’envie de comprendre de ses élèves pour qu’ils se sentent capables d’apprendre et pour qu’ils deviennent de futurs citoyens éclairés.
À partir d’un besoin de chercheurs du CNRS, les élèves coopérent pour fabriquer des fleurs artificielles.
Erwan Vappreau fait coopérer 6 classes d’école primaire et une équipe de chercheurs en Guyane.
Une proposition pour transformer son école en micro-État durable, qui ne surexploite pas les ressources de l’environnement, afin d’appréhender les nombreuses interactions entre la nature, la société et l’économie…
Deux stratégies gagnantes : la pédagogie de projet et le travail par compétences. Un exemple en lycée professionnel.
Le lycée Germaine-Tillion du Bourget (Seine-Saint-Denis) est un établissement particulier. Depuis huit ans, il accueille à la fois un lycée de secteur innovant et le Microlycée 93, structure de retour à l’école pour d’anciens « décrocheurs », installé précédemment à La Courneuve. Ce « lycée de la vie devant soi » est aussi un LéA (Lieu d’éducation associé), qui fait l’objet d’une recherche collaborative associant des chercheurs et l’équipe éducative, recherche portée par l’Institut français de l’éducation (IFE). Le 13 mai dernier a eu lieu au lycée un séminaire du LéA, l’occasion pour l’équipe de réfléchir à son fonctionnement marqué par l’importance du collectif, et de le partager dans les articles de ce minidossier.
L’interdisciplinarité et la pédagogie de projet qui se développent au lycée dans le cadre des enseignements d’exploration en 2de offrent un champ de liberté, de créativité pour élèves et professeurs.
Pourquoi a-t-on besoin, parfois, de sortir de l’école pour mieux enseigner, apprendre ? Pour remonter dans le temps, rappelons qu’un des points forts des classes nouvelles de 1945, c’était « l’étude du milieu », c’est-à-dire l’ouverture de l’école sur l’extérieur. Aujourd’hui plus que jamais l’école est un des endroits où l’on apprend, mais pas le […]
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