Une classe sans tables
Pousser les tables le long des murs et faire cours sans tables en éducation musicale, cela transforme progressivement les gestes professionnels et le rapport des élèves à l’apprentissage. Récit de cette métamorphose.
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Pousser les tables le long des murs et faire cours sans tables en éducation musicale, cela transforme progressivement les gestes professionnels et le rapport des élèves à l’apprentissage. Récit de cette métamorphose.
Décembre 1989. « Si tu sais méditer, observer et connaitre, sans jamais devenir sceptique ou destructeur, rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maitre, penser sans n’être qu’un penseur… » chante, ou plutôt déclame, Bernard Lavilliers lors d’une série de concerts au Zénith de Paris. Son public est surpris de l’entendre reprendre un poème du réactionnaire colonialiste […]
Quand la méthode flexiclasse agrège une équipe pédagogique hétérogène : un exemple en classe de 2de.
9 décembre, Journée de la laïcité. J’arrive au collège vers 14 h, la tête encore dans ma formation du matin. Une élève de 6e court vers moi et m’explique qu’il y a un problème dans la classe avec les décorations de Noël et la crèche. En classe, pour cette journée, il était prévu de laisser […]
Un mémoire de master d’une future professeure d’école en stage en responsabilité donne lieu à une expérimentation, en réponse à un problème professionnel rencontré.
Une recherche collaborative a été réalisée pour étudier les effets sur les élèves des espaces flexibles. Entretien avec l’équipe qui a mené cette recherche.
L’institution scolaire traverse une crise structurelle, et ses personnels d’éducation et d’enseignement ont le sentiment que beaucoup sera retenu contre eux.
Recourir ou non à l’humour en classe, c’est un choix qui dépend de la posture professionnelle de l’enseignant ou de l’enseignante, de la capacité à accepter un certain lâcher prise.
Plus souvent qu’on ne le croit, certains cours fonctionnent comme si l’on tournait autour d’un contenu à enseigner, mais sans s’y attaquer véritablement. Comme si l’on pratiquait ce qu’on pourrait appeler une « esquive didactique ».
Qui pose le problème ? Quand c’est le professeur seul, cela pose problème. Souci constant chez Jean-Pierre Astolfi de se centrer sur l’élève qui apprend et qui doit apprendre à poser les problèmes justement.
Un aspect moins connu des travaux de Jean-Pierre Astolfi qui éclaire encore des questions didactiques et pédagogiques actuelles.
Nous ouvrons ce dossier, élaboré dans une période que chahutent tant d’émotions, par le silence nécessaire pour qu’une parole, un discours, puisse advenir. Deux exemples dans des classes de collège.
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