Quand éduquer, c’était corriger
La violence a fait partie intégrante de l’éducation. Un détour historique par les manuels d’Ancien Régime nous montre d’où vient l’obligation de « corriger les enfants » pour les éduquer.
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La violence a fait partie intégrante de l’éducation. Un détour historique par les manuels d’Ancien Régime nous montre d’où vient l’obligation de « corriger les enfants » pour les éduquer.
Comment élèves et professeurs vivent-ils l’autorité dans les conditions très spécifiques du milieu carcéral ?
Quel recours ont les élèves, quand l’autorité des enseignants ne répond plus à leurs attentes ? Comment régulent-ils leur propre violence ? Voici une plongée dans des cours de récréation d’écoles élémentaires en Rep+.
Dans une société dominée par l’individualisme et l’immédiateté, dans une école affectée par la contestation des savoirs, l’exercice de l’autorité est mis à l’épreuve. Comment tenir le cadre nécessaire à des apprentissages exigeants et instaurer une relation d’autorité qui émancipe ?
Si la révolution MOOC (massive open online course) n’a pas eu lieu, le e-Learning a pour autant intégré notre quotidien. Des formations professionnelles en ligne aux tutoriels du web, il nous est désormais possible d’apprendre partout et tout le temps. Côté professeur, le Graal de la formation en ligne serait cet objet à effet vicariant […]
Périodiquement reviennent sur le tapis la question de l’ « autorité », les accusations d’une école trop laxiste, la demande de toujours plus de sanctions, plébiscitée dans les sondages. Les grands prêtres du « Yaka » sévissent alors et il est difficile de faire entendre une autre voix, même quand il s’agit d’experts particulièrement qualifiés et au fait de ce qui se passe sur le terrain. C’est pourquoi il est utile de donner la parole à Éric Debarbieux.
Qu’est-ce qu’un bon climat scolaire ? Est-ce lorsque les élèves répondent à notre fantasme du « bon élève » ? On ne peut nier l’impact qu’il a sur les personnels et les élèves. Se sentir bien ou mal à l’école détermine en profondeur le parcours que l’on y mènera.
Comment faire pour obtenir le calme et pour mettre la classe au travail ? S’il y a une question universelle parmi les enseignants et enseignantes, c’est bien celle-ci ! Elle rejoint celle de l’autorité, de l’accueil des élèves, pour créer une ambiance propice aux apprentissages. Les coordonnateurs de notre dossier n°589, « Tu la gères, ta classe ? », nous le présentent.
Rima Aboudan, « Laugh and Learn: Humor and Learning a Second Language », International Journal of Arts and Sciences, 3(3), 2009, p. 90-99. Jane Arnold, « Comment les facteurs affectifs influencent-ils l’apprentissage d’une langue étrangère ? », Éla. Études de linguistique appliquée, 2006/4 (n° 144), p. 407-425. Lance Askildson, « Effects of humor in the […]
L’humour pose question à l’école. Dans un contexte qui encourage individualisme et compétition, qui pose l’autorité en principe s’imposant à priori au lieu de se construire dans la relation, l’humour apparait souvent comme un danger potentiel de subversion ou de perte de contrôle.
Alors… C’est un Français, un Ukrainien et un Russe qui sont dans un avion…
La réputation d’un enseignant tient souvent à ce qu’on croit savoir de sa gestion de la classe, selon des convictions tenaces sur la bonne façon de « tenir » les élèves. Des idées un peu courtes, à réinterroger pour éduquer plutôt que contenir et réprimer.
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