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À la faveur d’un dispositif alliant écriture professionnelle et analyse collaborative, des enseignants d’un lycée accompagnés par une équipe de chercheurs remettent en chantier la question de l’autorité. Des pistes pour prendre davantage en compte la singularité et la complexité des situations où l’autorité est en jeu.
Apprendre le français dans la rencontre avec un artiste, danseur ou conteuse, et la pratique artistique, c’est ce que propose cette UPE2A en lycée. Les élèves allophones nouvellement arrivés en France (ENEA) doivent acquérir en quelques mois des compétences linguistiques leur permettant de poursuivre leur scolarité. Cet apprentissage se fait au sein des unités pédagogiques […]
Les enseignants de français en lycée sont nombreux à se sentir très mal à l’aise face aux nouveaux programmes appliqués cette année en Seconde et Première. Surchargés, surannés, peuvent-ils malgré tout présenter un intérêt pour les élèves, et l’enseignant ?
On sait combien peuvent être ennuyeuses et formalistes les leçons de vocabulaire à l’école. Les listes de préfixes et suffixes, les définitions de mots comme synonymie ou polysémie, les références pesantes aux étymologies, etc. Le terrible et récent attentat contre un enseignant peut être l’occasion d’aborder cette question du sens et de l’usage des mots […]
Initiative, autonomie, aptitude à communiquer à l’oral et à l’écrit, à collaborer, faire vivre des valeurs : le travail en projet permet de tisser toutes sortes de liens entre ces diverses compétences. Pour le bonheur de tous les acteurs.
Rendre les élèves autonomes pour orthographier des mots nouveaux, dédramatiser l’orthographe lexicale, faciliter la mémorisation des mots et leur transfert dans diverses activités d’écriture : tel est le pari développé par l’orthotactique.
Comment la co-intervention s’est progressivement construite entre deux enseignantes, l’une professeure de français et l’autre professeure d’histoire.
Lorsque deux enseignants de collège (français et mathématiques) prennent en compte le point de vue des élèves sur leur évaluations, ils les rendent plus explicites et plus en prise avec les apprentissage réels.
Un dispositif d’atelier d’écriture pour les lycéens en séances d’accompagnement personnalisé : le groupe y est fondamental, et l’atelier instaure un espace de jeu et de prise de risque.
Dans une classe élémentaire coopérative et multiâge, un rendez-vous hebdomadaire, joliment nommé « Présent poétique », fait vivre l’écrit à travers la lecture à voix haute et le partage.
Le collège Clisthène fonctionne notamment avec des temps de projet interdisciplinaire revenant régulièrement. C’est ainsi que la Première Guerre mondiale a été abordée en cinq séances de deux heures, associant histoire, français et arts plastiques et permettant un ancrage des connaissances dans la mise en œuvre d’une compétence.
La « lettre de poilu » ou la « lettre à un poilu » est quasiment devenue un genre en classe de 3e. On en voit plusieurs échos dans ce dossier et nul doute que l’année 2014 et les suivantes verront un épanouissement de ce type d’écrit. Comment faire de ces invitations à l’écriture une occasion de former les élèves à la réflexion sur les situations de communication et sur le rapport complexe entre scripteur et lecteur du fait de l’inévitable passage, ici, par la censure militaire ?
Nous prenons l’exemple de lettres écrites par quatre classes d’enseignants de français, Julien Fouque et Alexis Lager, du collège Berthelot de Nogent-sur-Oise qu’on peut d’ailleurs découvrir intégralement sur le site de l’établissement.
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