Une démarche pour qu’ils ne décrochent pas
La classe coopérative comme un puissant outil pour éviter le décrochage scolaire précoce, qui commence souvent sur un mode silencieux et difficilement perceptible.
Si vous n’êtes pas satisfait(e) des résultats ci-dessous, vous pouvez lancer une autre recherche
La classe coopérative comme un puissant outil pour éviter le décrochage scolaire précoce, qui commence souvent sur un mode silencieux et difficilement perceptible.
Mai 1978. La rupture du programme commun, suivie de la défaite de la gauche aux élections législatives de mars, rendait le printemps bien maussade. D’ailleurs la météo était à la pluie. Restait le repli sur la nostalgie d’un anniversaire. « Certainement pas !, s’exclame Daniel Hameline dans le billet du mois du numéro 164 des Cahiers pédagogiques, […]
Après plus d’un an de confinement, déconfinement, reconfinement, couvre-feu, restrictions, tout le monde n’a qu’une envie : sortir, dans tous les sens du terme! Et ça tombe bien, c’est ce que propose de faire notre dossier « Apprendre dehors », sortir avec les élèves, les enfants, pour apprendre dehors. Présentation du dossier par ses coordonnateurs.
Cet automne aura lieu la quatrième édition de la Biennale internationale de l’éducation nouvelle. Après Bruxelles en 2022, retour en France, puisqu’elle se déroulera au lycée Rieffel de Saint-Herblain, près de Nantes, du 30 octobre au 2 novembre.
Connaissez-vous N’Autre école ? C’est une revue militante et engagée, qui parle de pédagogie, d’éducation et d’émancipation. Pas très loin des Cahiers pédagogiques, donc, et d’ailleurs, nous avons des contributeurs communs. Mais N’Autre école se revendique haut et fort de la gauche radicale, ce que les Cahiers ne font pas. Il n’empêche qu’on ne peut que vous inciter à la lire, et notamment le tout dernier numéro, consacré au corps, un thème que nous avions aussi traité il y a quelques années.
À la Biennale internationale de l’éducation nouvelle organisée à Bruxelles du 29 octobre au 1er novembre, l’un des ateliers se déroulait dehors, au bord du lac… Un lieu idoine pour échanger sur la nature comme contexte et support d’apprentissage. Laurent Reynaud, l’animateur de l’atelier, nous en fait un récit évocateur et vivifiant.
La 3ème Biennale internationale de l’éducation nouvelle s’achève avec la conférence de clôture par Philippe Meirieu et Laurence De Cock. Participants l’une et l’autre comme témoins, ils ont tissé des liens entre le propos introductif de Bernard Charlot et leurs picorages dans les échanges. De la cinquantaine d’ateliers et des vingt débats de ces quatre journées, ils ont dégagé quelques enjeux majeurs pour la poursuite de la convergence des mouvements de l’éducation nouvelle.
« L’être humain est une aventure », affirme Bernard Charlot, dès le titre de sa conférence à la troisième Biennale internationale de l’éducation nouvelle à Bruxelles. Et cette aventure penche aujourd’hui dangereusement vers la barbarie, alerte celui qui vit depuis des années au Brésil, à la veille du second tour d’une élection présidentielle qui oppose Lula et Bolsonaro. Il appelle à replacer l’humain au centre de la pensée et de la pratique pédagogiques.
Une interview de Véronique Bavière qui assure la direction, depuis treize ans, d’une école du quartier de la Goutte d’Or à Paris. Elle témoigne de la pratique de son équipe à l’origine des Ateliers de réflexion réparation qui ont essaimé dans plusieurs écoles (cf. témoignage de Christelle Nayrolles en ligne).
En quoi la pédagogie Freinet éduque-t-elle à la citoyenneté ?
Philippe Meirieu a participé à la totalité de la Biennale internationale de l’éducation nouvelle, du 2 au 5 novembre derniers à Poitiers, dont il était grand témoin. Il est intervenu en clôture, pour dire à la fois ce qu’il en avait retenu et proposer des pistes d’action aux acteurs de l’éducation nouvelle.
À l’initiative de six mouvements d’éducation nouvelle ou s’inspirant de ses principes, les Ceméa (Centres d’entrainement aux méthodes d’éducation active), le CRAP-Cahiers pédagogiques, la Fespi (Fédération des établissements scolaires publics innovants), la FI-Ceméa (Fédération internationale des Ceméa), le GFEN (Groupe français d’éducation nouvelle) et l’ICEM (Institut coopératif de l’école moderne)-pédagogie Freinet organisent une Biennale de l’éducation nouvelle qui aura lieu du 2 au 5 novembre 2017. Le texte qui suit est le fruit d’une écriture collaborative entre les six partenaires.
Chers lectrices et lecteurs,
Les articles des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Pour soutenir l’association et sa démarche de mutualisation de réflexions et de pratiques en accès libre, vous pouvez nous aider en faisant un don, même minime.
Merci !