Si vous n’êtes pas satisfait(e) des résultats ci-dessous, vous pouvez lancer une autre recherche
L’école rurale peut-elle être un lieu d’innovation pédagogique ? Le coenseignement est-il plus porteur de développement professionnel pour les enseignants et enseignantes que les dédoublements de classes ?
Jean-pierre Astolfi, Cahiers pédagogiques n° 239, décembre 1985 (p. 15) Ce n’est pas… C’est plutôt… Les connaissances ne sont pas des choses qui s’apprennent de façon statique, s’empilent et s’accumulent. Ce sont des outils intellectuels qui fonctionnent dans des situations réelles, avec la complexité de celles-ci. Les connaissances acquises ne viennent pas remplir le vide […]
Invité en ouverture des rencontres CRAP de Rambouillet en 2004, qui avaient pour thème « Face aux difficultés du métier, que construisons-nous ? », Jean-Pierre Astolfi a mis en avant la nécessité de ne pas renoncer aux savoirs. Interrogé par les Cahiers, il revient ici sur cette insistance qui avait pu surprendre les participants.
Plus souvent qu’on ne le croit, certains cours fonctionnent comme si l’on tournait autour d’un contenu à enseigner, mais sans s’y attaquer véritablement. Comme si l’on pratiquait ce qu’on pourrait appeler une « esquive didactique ».
ean-Pierre a été corédacteur en chef des Cahiers pédagogiques, bonne école pour être soucieux de qualité d’écriture et de lutte contre les brouillages inutiles de la compréhension. Ses réflexions sur l’écriture de textes théoriques sont elles aussi très actuelles.
L’auteur de cette contribution a travaillé étroitement avec Jean-Pierre Astolfi et revient sur des concepts essentiels qui vont au-delà de la didactique des sciences qui les a fait émerger.
Qui pose le problème ? Quand c’est le professeur seul, cela pose problème. Souci constant chez Jean-Pierre Astolfi de se centrer sur l’élève qui apprend et qui doit apprendre à poser les problèmes justement.
La date de l’article est importante : les Cahiers avaient titré en juin « La victoire enfin ! ». L’arrivée de la gauche, espérait-on, mettrait fin à la morosité répandue dans l’institution. Ici, Jean-Pierre Astolfi propose un vrai programme de travail pour les innovateurs.
Un aspect moins connu des travaux de Jean-Pierre Astolfi qui éclaire encore des questions didactiques et pédagogiques actuelles.
« Tous chercheurs ? » Vraiment. Ici, Jean-Pierre Astolfi remet en cause les slogans réducteurs et propose de distinguer les rôles entre enseignants, chercheurs et formateurs. Quitte à paraitre schématique ou provoquant, il me faut prendre ici le contrepied du discours familier à nos oreilles (particulièrement autour des mouvements pédagogiques comme le nôtre), discours qui défend […]
« Allez on se dépèche, on prend un crayon et on écrit le bilan de fin de cours ! »
Comment faire du bilan de fin de cours une trace d’apprentissage utile ?
L’avenir de la formation des enseignants en neurosciences éducatives ne peut s’intégrer en quelques heures, ni consister à appliquer des méthodes clé en main, comment alors l’envisager dans une perspective d’évolution du métier ?
Chers lectrices et lecteurs,
Les articles des Cahiers pédagogiques sont largement partagés et discutés. Pour soutenir l’association et sa démarche de mutualisation de réflexions et de pratiques en accès libre, vous pouvez nous aider en faisant un don, même minime.
Merci !