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Le dispositif de la minientreprise crée une organisation en grandeur réelle, ou quasiment. L’initiative est ici décrite avec enthousiasme par deux enseignantes, qui soulignent les multiples compétences ainsi exercées par les élèves et leur motivation retrouvée. Une simulation qui peut aussi interroger : forme-t-on trop bien les élèves au monde de l’entreprise ?
Pour s’engager dans un travail d’équipe, mieux vaut qu’il apparaisse possible, désirable, dynamisant. Et c’est parfois le cas !
Depuis longtemps, je traine un boulet au pied : à chaque fois qu’on parle de foot à la maison, je fais celle qui n’y connait rien alors que j’ai tout pour apprendre : un mari et des enfants passionnés, qui m’ont expliqué tant de choses tant de fois, que je n’ai aucun prétexte. Ce matin, […]
Dominique Angelvy est, pour la dernière année, professeur-documentaliste au lycée polyvalent Ernest-Ferroul à Lézignan-Corbières dans l’Aude. Il quittera ce métier sans lassitude aucune ni des élèves, ni de ses collègues. Sa passion intacte se nourrit d’humanisme et de poésie dans un territoire où la culture palpite, se partage. Il nous en ouvre les portes. Il […]
Les spécificités des élèves à besoins éducatifs particuliers profitent à tous. Dans un collège du Vaucluse, les élèves expérimentent dès la 6e les classes flexibles et coopératives. Une manière d’expérimenter la mise en mouvement des corps dans l’apprentissage.
Ce jour-là, les deux formateurs ont consciencieusement distribué à chacun un stylo pour la journée.
Accompagnés par leur professeur référent, des élèves de 6e reviennent apporter leurs connaissances et leur savoir-faire aux questionnements des élèves de CM2.
DYNAMIQUE. Les correspondants académiques du CRAP-Cahiers pédagogiques présentés par leur coordonnatrice nationale.
Une vraie fausse entreprise, voilà le support d’enseignement que deux enseignants de gestion administrative (GA) ont choisi pour favoriser motivation individuelle et émulation collective, et rendre leurs élèves autonomes.
« Les élèves ont peur de faire faux ! Et les enseignants corrigent les fautes ! » On voit là une image de l’erreur à traquer dans le travail scolaire ! Mais au sein des pratiques de la classe, l’enseignant peut donner à l’erreur ses lettres de noblesse.
Avant d’envisager des remédiations dans un contexte éducatif, il est nécessaire d’avoir des clés, venues notamment de la psychologie cognitive, pour comprendre de quoi est fait l’ennui, ses différentes dimensions et les variables qui le différencient.
Le projet de notre classe est né d’un voyage pédagogique en Finlande fin 2012. Nous avons souhaité nous inspirer de ce système éducatif pour répondre à nos besoins spécifiques. Les cinq axes du projet sont ainsi définis : organiser un véritable travail d’équipe, améliorer le suivi des élèves, repenser le temps scolaire, améliorer le cadre spatial et dynamiser notre pédagogie.
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