En parler à Manhattan
Voici quelques éléments du témoignage que Raoul Pantanella a pu recueillir auprès d’un enseignant du lycée français de New York.
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Voici quelques éléments du témoignage que Raoul Pantanella a pu recueillir auprès d’un enseignant du lycée français de New York.
À la suite d’une première expérience réussie en juillet 2000, les mouvements se sont réunis cette année à Dinard les 2, 3 et 4 juillet. Nous étions une trentaine de personnes appartenant à huit mouvements : ICEM, GFEN, FOEVEN, CEMEA, AFL, Francas, OCCE et le CRAP-Cahiers pédagogiques, pour réfléchir sur le thème » Le sens de l’école : quelle signification dans les pratiques des mouvements pédagogiques ? «
Principale nouveauté d’une allègre réforme, les TPE ont suscité beaucoup d’interrogations en 1999-2000 dans les équipes pédagogiques et de direction, pourtant rompues à de substantielles et nécessaires inflexions de leurs pratiques depuis plusieurs lustres. Après une période de tâtonnements, le bilan semble pourtant nettement positif.
Les TPE sont rendus facultatifs en terminale. Une façon d’éviter qu’ils ne touchent au cœur de nos pratiques d’enseignants et qu’ils ne commencent à bouleverser aussi bien les cloisonnements disciplinaires que les rigidités de l’espace et du temps scolaires. Mais, malgré les difficultés de mise en œuvre, les professeurs qui ont joué le jeu voient tout le bénéfice que l’on peut tirer de ce nouveau dispositif et ils en redemandent. Témoignage.
Le Monde a publié récemment une page publicitaire intitulée « Le scandale annoncé du bac de français ». Cette protestation véhémente est signée par plusieurs associations dont on peut lire les propos sur le Web [[Voir Le Monde du jeudi 5 mai 2001 : « Le scandale annoncé du bac de français ». Sauver les lettres : www.sauv.net, Association des professeurs de Lettres. Reconstruire l’école : www.multimania.com/reconstruirelecole. Sauvegarde des Enseignements Littéraires : www.sel.asso.fr ]].
Deux éléments de l’actualité générale, en ce printemps pourri, méritent d’être évoqués aussi dans l’actualité éducative : le procès de l’Ordre du Temple solaire et la thèse d’Elizabeth Teissier, astrologue mondaine, en Sorbonne.
Au centre de la « réforme du collège », la question de la base de « savoirs communs » qu’il conviendrait de définir pour les jeunes à la fin de la scolarité obligatoire. De nombreuses déclarations récentes s’y réfèrent et nourrissent le débat.
Dans notre numéro d’avril, Odile Chenevez rédigeait un billet intitulé « Du silence brisé aux dangereux raccourcis ». Élizabeth Thuriet réagit ici en essayant de replacer le problème sur le terrain de la pédagogie.
Le mois dernier, nous avons évoqué dans cette rubrique l’idée, avancée par un conseiller de J. Lang, de développer les internats, forme d’encadrement susceptible d’aider certains élèves à mieux vivre l’école. Nous avons également évoqué les risques d’une telle mesure. Voici un témoignage d’une ancienne interne. Même si l’école a beaucoup changé depuis, et en particulier les conditions d’hébergement qui préservent un peu mieux l’espace privé, les questions posées méritent réflexion.
En lisant le texte de Pierre Madiot (billet du mois du Cahier n° 391 L’école et l’exclusion) je reconnais dans ces mots l’école d’avant 68 qui fut aussi la mienne, je vois comme nos impressions, nos souvenirs et au-delà nos analyses sont différentes.
« Bâtir un collège pour tous qui soit en même temps un collège pour chacun » : la formule a fait florès et il est vrai qu’elle le mérite ! Du dynamisme dans l’octosyllabe initial qui suggère un élan républicain et fraternel, tempéré par le balancement harmonieux de la fin de la phrase qui renvoie […]
C’est en tant que membres du Mouvement des réseaux d’échanges réciproques que Claire et Marc Heber-Suffrin ont participé au Forum social mondial (FSM), du 25 au 30 janvier 2001, à Porto Alegre (Brésil). Voici les conclusions qu’ils proposent à notre réflexion.
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