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De 1996, date à laquelle ils ont été introduits en 6e, jusqu’à aujourd’hui où ils atteignent la classe de première, les nouveaux programmes de français ont profondément changé la discipline à la fois dans ses contenus, qui se sont diversifiés et dans ses méthodes. Les nouveaux programmes de français résultent en partie des réformes successives […]
« Si le sociologue a un rôle, ce serait plutôt de donner des armes que de donner des leçons [[Intervention au congrès de l’AFEF, Limoges, 1977, in Questions de sociologie, Paris, 1984.]] ».
Devant la difficulté à organiser un débat sur ce difficile problème, Elizabeth Thuriet tente ici de faire un état des lieux de la question.
Le 16 juin dernier un collectif d’associations (Sida-Info-Service, Aides, Ligue des Droits de l’Homme, SOS-Homophobie, Act-Up) organisait un colloque sur « l’homophobie à l’école ». Le CRAP-Cahiers Pédagogiques était invité à participer à une table ronde en compagnie de sociologues et de chercheurs en sciences de l’éducation.
À Châteauroux, des enseignants ont été suspendus pour atteinte aux droits de l’enfant reconnus par la Convention internationale.
Les nouveaux programmes de l’école primaire viennent d’être proposés à la consultation : trente-deux pages pour l’école maternelle ; vingt-neuf pages pour le cycle 2 ; vingt-sept pour le cycle 3 ! Sans compter les documents d’accompagnement !
Les Cahiers pédagogiques ont déjà largement abordé la question de l’enseignement des langues régionales. Dans le n° 378, Philippe Martel et Roger Ebion faisaient part de leur amour pour la langue qui fait leur identité. Ce à quoi, Michel Alphand, dans le n° 380 répondait en affirmant son attachement à la nation républicaine avant de […]
Le ministère, très (trop ?) prudent en matière de baccalauréat, a introduit en catimini, sans vouloir le dire clairement, une dose homéopathique de CCF, le terrifiant CCF, qui n’est pas un gaz à effet de serre ou destructeur de la couche d’ozone mais tout simplement un peu de contrôle en cours de formation. Et au […]
La structure innovante pilotée par Marie-Danièle Pierrelée est implantée dans un collège déjà existant, au Ronceray, dans la Sarthe. Deux structures coexistent donc dans le même espace et fonctionnent de manière séparée. La mise en place a été difficile, mais aujourd’hui, au dire de l’initiatrice de l’opération, la cohabitation se passe sans heurts. Le premier entretien a eu lieu fin septembre, trois semaines après la rentrée.
Le lycée expérimental de Saint-Nazaire a vingt ans. Une telle longévité pour une « expérience » aussi radicale donne à réfléchir. Sur quelle idée-force repose le fonctionnement de ce « lycée différent » ?
Est-ce que l’idée même d’un « salon » pour l’éducation est une idée heureuse ? Situé avant le Salon de la piscine et du sauna et après le Salon mondial du deux roues, le Salon de l’éducation a aussi des choses à vendre : on y fait la promotion d’une voiture de course, d’une boisson énergétique, de repas pour des collectivités, de séjours en Bourgogne et d’ardoises magiques… On y réfléchit et l’on y échange quand même.
À la fin du mois d’octobre le CRAP-Cahiers pédagogiques a réuni ses adhérents pour faire le bilan de son action et travailler sur le thème de l’innovation. Travaux en ateliers, table ronde et débats ont fait apparaître une série d’affirmations et d’interrogations :
– J’innove pour rester vivant
– Mon métier d’enseignant me contraint à inventer. Mais, gardons-nous de stigmatiser ceux qui n’innovent pas comme nous. Est-il encore possible d’innover quand c’est l’institution qui nous en fait l’injonction ? Enfin : Sommes-nous condamnés à innover contre l’institution ?
– Pouvons-nous innover à l’intérieur de la logique institutionnelle ?
Voici une réaction d’un participant.
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