DES ÉLÈVES INTOLÉRANTS À L’ERREUR
Enfants dyslexiques ou à haut potentiel : quel rapport particulier ces enfants différents entretiennent-ils avec l’erreur dans les apprentissages ?
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Enfants dyslexiques ou à haut potentiel : quel rapport particulier ces enfants différents entretiennent-ils avec l’erreur dans les apprentissages ?
Qu’as-tu appris à l’école aujourd’hui ? Qu’avez-vous appris à vos élèves aujourd’hui ? Que se passe-t-il dans cette école, entre celui qui enseigne et celui qui apprend ?
« Les élèves ont peur de faire faux ! Et les enseignants corrigent les fautes ! » On voit là une image de l’erreur à traquer dans le travail scolaire ! Mais au sein des pratiques de la classe, l’enseignant peut donner à l’erreur ses lettres de noblesse.
Un livre de Jean-Michel Zakhartchouk, publié en partenariat avec ESF Sciences humaines.
« Attention à ne pas te tromper. » Ce message, envoyé à beaucoup d’élèves dans notre système éducatif, n’est-il pas révélateur d’une relation tout sauf sereine à l’erreur ? Il est pourtant si naturel de ne pas réussir du premier coup, surtout quand on est en train d’apprendre. Et si, loin de la considérer comme une catastrophe, on retournait le stigmate, on faisait de l’erreur un levier pour apprendre, ce qu’on retrouve dans l’expression « apprendre de ses erreurs » ?
L’école sert à apprendre, et immanquablement les élèves se trouvent confrontés à ce qu’ils ne savent pas (encore) et doivent apprendre. Nous confrontons donc tous les jours nos élèves à leur ignorance. Et on oublie parfois (souvent ?) combien cela peut être difficile. Combien il peut être difficile de se sentir ignorant, de ne pas […]
« Droit, tordu…», comment la remarque d’un élève sur la forme d’un angle met en réflexion une classe et ses enseignantes.
Partenariat et compromis Une enquête sur les rapports entre professionnels du décrochage scolaire, qui confronte la vision de l’Éducation nationale et celle de l’éducation populaire, dans le cadre des ateliers relais mis en place pour les collégiens. Comment des acteurs issus de deux mondes sociaux pensés comme différents, voire opposés, peuvent coopérer dans le cadre […]
À l’école, on n’écrit pas toujours beaucoup, car on est trop souvent dans la logique de production d’un écrit bien fait, qui sera évalué ou communiqué. Or, le langage écrit est aussi un instrument intellectuel, au service du travail quotidien des élèves. Comment les faire écrire davantage ? Lisez aussi: «Les élèves écrivent à tous les moments des apprentissages.», entretien avec les coordonnateurs du dossier. Découvrez la vidéo de présentation du dossier.
L’auteur de cette contribution a travaillé étroitement avec Jean-Pierre Astolfi et revient sur des concepts essentiels qui vont au-delà de la didactique des sciences qui les a fait émerger.
Une relecture roborative de l’ensemble de ce dossier, avec des pistes pour ne pas avoir à refaire le même en 2022…
Dans le secondaire, les vieux réflexes des élèves sont de considérer l’erreur comme négative, réflexes conditionnés par l’enseignement qu’ils ont reçu et par leur environnement. Comment changer ce statut de l’erreur ?
Sans nier leur brillant comique, les bourdes des élèves ont beaucoup à nous apprendre sur leurs raisonnements, invitent aussi à reconsidérer les pratiques d’enseignement d’où émergent ces joyaux.
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