Archive d’étiquettes pour : apprentissages

Débat : le développement personnel a-t-il sa place à l’école ?
Le développement personnel et le collectif sont-ils conciliables en classe ? Un référentiel publié en mars 2025 par le ministère de la Santé, adressé aux experts et formateurs en compétences psychosociales, défend l’objectif de développement personnel. Cela interroge les acteurs de l'éducation.

À l’école, concilier bienêtre et apprentissages
Y a-t-il incompatibilité entre le bienêtre des élèves et l’acte d’apprendre ? Et les enseignants, qu’en est-il de leur bienêtre, dont le contraire pourrait être le malaise, l’épuisement ? Compte rendu subjectif d'une form@ction récente organisée par le CRAP-Cahiers pédagogiques sur le thème « Bienêtre et apprentissage, faut-il choisir ? », avec la participation de Philippe Meirieu.

Laissons les élèves demander de l’aide
Et si le problème des groupes de niveau était d’abord une composition de ces groupes sans l’avis des élèves ? Les laisser prendre l’initiative de rejoindre des propositions d’aide pourrait alors en faire des interlocuteurs valables et réhabiliter le groupe-classe.

Groupe de besoin, groupe de travail, équipe de travail
Quelles alternatives concrètes aux groupes de niveau pour enseigner de manière non-uniforme et parvenir à répondre aux besoins d’apprentissage des élèves sans en décourager aucun ? Des repères pratiques pour trois alternatives étudiées par la recherche : les groupes de travail, les équipes de travail et les groupes de besoin.

Groupe de niveau ou groupe de besoin ?
Groupe de niveau, groupes de besoin : le deux termes sont souvent dévoyés. Sans les rejeter on peut ouvrir une autre voie, celle des groupes ressources coopératifs.

Des tableaux humains pour travailler la compréhension
La compréhension des textes pose souvent souci aux élèves, peut-être parce qu’elle n’est travaillée qu’à partir de travaux écrits. Nous découvrons ici une approche pédagogique basée sur le passage par le corps pour comprendre les finesses d’un écrit, jusqu’à la reprise d’une écriture.

« Madame, on a bien plan de travail, hein ? »
Entrons dans une classe de français. Il s’agit d’une séance de plan de travail. Les élèves étudient ce qui correspond à la fois aux attendus des programmes et à leurs besoins d’apprentissage. Ils peuvent rester seuls, coopérer ou rejoindre leur enseignante. Une ruche où personne ne fait la même chose mais où chacun travaille.

« Penser la mobilisation, c’est s’intéresser d’abord à ce que les élèves font, ici et maintenant »
Rares sont les cas où une cause unique et pérenne explique les difficultés d’un élève à s’impliquer dans une tâche. Il convient donc de s’adapter à chaque situation, de jouer les équilibristes en tenant compte de tous les paramètres, pour tenter d’intéresser chacune et chacun aux apprentissages du jour. Mobiliser les élèves, c’est accepter une part d’imprévisibilité et vivre le temps présent, décryptent les coordonnateurs de notre dossier « Remobilisés ! » dans cet entretien.

N° 598 – Remobilisés !
Raviver la flamme des apprentissages chez les élèves, faire resurgir et prolonger la mobilisation... oui mais comment ? Au cœur de l’action pédagogique, qu’est-ce qui permet de changer, de redonner du sens, de reconnaitre et acquérir des ressources, retrouver le désir, se remettre en mouvement ? Quels sont les effets, dans la classe et au-delà, d'un ou plusieurs élèves remobilisés sur les autres élèves, sur les enseignants parfois tentés par le découragement ? Sans nier du tout les difficultés ni les questionnements, un dossier qui ouvre grand l’appétit d’apprendre et d’enseigner.

La singularité du désir d’apprendre
Acceptons d’explorer les ressorts psychiques de la mobilisation à l’école, sans jouer aux psychologues professionnels, mais avec le souci d’être à l’écoute, de reconnaitre chacun dans la singularité de son rapport au savoir et aux enseignements.

Encore cinq minutes, Miss !
Les voies de la remobilisation sont multiples... Une enseignante d'anglais en essaie plusieurs qui, bien conjuguées, produisent de beaux effets.

À Mayotte, apprendre par l’action
À Mayotte peut-être plus encore qu'ailleurs, il ne peut y avoir d'apprentissages qu'en mettant les élèves au centre, en leur permettant de vivre leur parcours à partir de ce qu'ils sont et font.