Conférence-débat sur les rythmes de vie des enfants et des jeunes
Le CAPE (Collectif des associations partenaires de l’école) contribue au débat sur les rythmes scolaires mis en place par le ministère de l’Éducation nationale.
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Le CAPE (Collectif des associations partenaires de l’école) contribue au débat sur les rythmes scolaires mis en place par le ministère de l’Éducation nationale.
L’épreuve de français du concours de recrutement de professeur des écoles a connu récemment bien des vicissitudes, mais la session 2010-2011 dont la première partie vient de s’achever est un pur scandale.
Aux lendemains du Colloque du CRAP-Cahiers pédagogiques, organisé en partenariat avec Éducation & Devenir et la Mairie du XXe arrondissement qui a mis à disposition ses locaux et ses personnels pour la réussite incontestable de cette réflexion de deux jours en présence de plus de deux cents participants, un écho ici-même, en attendant d’ici quelques semaines la parution d’actes, sous la forme d’un complément, très substantiel, au Hors série numérique « Aider et accompagner les élèves dans et hors l’école »[[Sur le plan technique, l’achat d’une édition donne droit à l’édition suivante, mise à disposition par téléchargement depuis la page de votre compte sur notre site internet. L’acheteur est informé de la parution d’une nouvelle édition par courriel.]]
[caption id="attachment_62920" align="alignnone" width="7"]Programmation 2014-2015[/caption] Lire également le dossier très complet du Café pédagogique
À l’initiative du Réseau Français des Villes Éducatrices, plusieurs organisations (parents, jeunes, enseignants, universitaires, associations complémentaires de l’enseignement public et d’éducation populaire, professionnels des collectivités locales, élus locaux, professionnels de la petite enfance et responsables syndicaux) s’associent pour appeler à la mobilisation de tous autour de l’éducation et de la formation, dès la petite enfance et tout au long de la vie.
De nombreux citoyens sont aujourd’hui convaincus que le changement politique fort auquel ils aspirent n’aura lieu que si la victoire électorale éventuelle de l’opposition se joue sur des perspectives économiques et sociales explicites, cohérentes, novatrices et ambitieuses. L’heure est aux élaborations programmatiques.
Lundi 25 et mardi 26 octobre 2010 à la mairie du 20e arrondissement de Paris (métro Gambetta, ligne 3, sortie n°1) – En partenariat avec Éducation & Devenir et la Mairie du 20e
Trois mois après l’annonce par le ministère d’une baisse de notre subvention, où en sommes-nous ? Nous devons ce point de situation à tous ceux qui nous ont soutenus : adhérents de longue date, sympathisants qui nous ont rejoints, lecteurs qui ont témoigné de leur attachement aux Cahiers pédagogiques sur notre site internet, syndicalistes et membres des associations amies, parlementaires qui ont chacun fait connaitre notre situation et montré leur attachement aux mouvements pédagogiques. Nous tenons ici, solennellement, à tous les remercier.
Prenant exemple sur une méthode d’enseignement des sciences pratiquée dans les quartiers défavorisés de Chicago, Georges Charpak s’est trouvé en 1996 à l’initiative de la Main à la pâte. En mai 2006, il co-signait avec Pierre Léna et Yves Quéré un article en forme de bilan d’étape, « La main à la pâte, dix ans après », publié dans le n° 443 des Cahiers pédagogiques consacré à la culture scientifique.
Les auteurs livraient alors une réflexion inspirée par dix ans de pratiques marquées par la démarche d’investigation, la réconciliation entre savoir et faire et l’accès au langage. En forme d’hommage à Georges Charpak, nous redonnons ici une actualité à cet article.
Dans l’ouvrage retentissant qu’il vient de publier, Peter Gumbel ose poser la question taboue du « bonheur à l’école ». Cela nous a donné envie d’aller plus loin avec lui. Le bonheur n’est-il pas une idée neuve dans l’école française ?
L’édition 2010 aborde le thème de la souffance à l’école tant cette question est apparue, lors des deux premières éditions, comme un élément central dans le processus de production de l’échec scolaire – et aussi comme l’un des indicateurs les plus inquiétants du « Baromètre du rapport à l’école des enfants des quartiers populaires ».
« Poser les bonnes questions plutôt qu’apporter des réponses », nous disent les réalisateurs de ce documentaire dans l’interview ci-dessous. Objectif atteint, tant l’image qu’ils nous renvoient de l’école interpelle. C’est un documentaire qu’on pourra trouver éprouvant, pour les collègues qui s’identifieront plus ou moins à tel enseignant ou tel autre, qui en tout cas se situeront par rapport à ceux-ci, pour les parents qui n’ont pas tant d’occasions d’avoir des aperçus sur ce qui se déroule dans le huis clos des classes. On pourra le trouver incomplet, partial, excessivement ceci ou pas assez cela, tant il est difficile de prendre avec mesure et distance un tel propos sur l’école. Il faut lui reconnaitre la sensibilité du regard, le souci des nuances de la complexité, le grand respect à l’égard des personnes, la qualité du montage qui permet de gérer au mieux la contrainte du temps, montrer une année scolaire en une heure trente de format télévisuel.
Ce n’est pas un documentaire sur l’école, son fonctionnement, ses qualités et ses travers ; c’est un regard sur une école inscrite dans la société, une invitation à réfléchir à l’école dont nous avons besoin pour la société que l’on souhaite, et c’est précieux !
En fin d’année scolaire, les collèges ont été préoccupés par la fameuse « attestation du palier 3 » du socle commun qu’il convient de remplir pour l’obtention du brevet des collèges notamment (mais, on ose l’espérer, pas seulement pour cela), cette commande institutionnelle ne devenant cependant obligatoire qu’en 2011. Cette attestation est un outil bien […]
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