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Que s’est-il passé aux Rencontres d’été ?
Quelques temps forts ?
La rencontre, ou plutôt les retrouvailles avec Philippe Goémé et Marie-Anne Hugon.
Marie-Anne Hugon et Philippe Goémé sont bien connus du CRAP et du site des Cahiers pédagogiques. A l’occasion de la sortie de leur livre « Le décrochage scolaire », écrit avec Philippe Taburet disparu il y a quelques mois, nous les avions interrogés tous les trois, sur leur parcours, sur le travail en équipe. Michèle Amiel avait fait de cet ouvrage une recension. Une réunion avait eu lieu au CRDP de Paris également. Ils sont revenus nous parler des décrocheurs et de ce que l’on peut.
Le cercle vicieux. Le malaise. Regardé comme un animal qui fait peur. Le manque d’échanges. Marcher sans marcher tout en marchant. Un casier scolaire difficile.
Les expressions sont fortes. Dérangeantes. Elles tombent comme des couperets, de la bouche d’élèves identifiés décrocheurs, dans des vidéos marquantes. Le décrochage, insidieux, puis lancinant. Destructeur enfin. Tout bascule. Pas eu… pas eu le brevet, le bac, le courage de se lever le matin.
Dans la salle, les enseignants réagissent. Ces élèves devenus violents, ou étant en classe sans y être, ces élèves sages en classe qui n’écoutent pas, ils les connaissent bien. Trop bien. Dès le primaire. Ces chaises déjà presque vides…
Le nombre de décrocheurs est moins important qu’en 1980, c’est la bonne nouvelle. Mais la mauvaise nouvelle le risque d’exclusion est bien plus grand.
Ces enfants sont un miroir, une loupe, qui nous révèlent nos pratiques. Les paroles des enseignants un destin qui s’imprime : « Je ne suis pas capable. Je ne suis pas capable. »
Parents désemparés. Enfants désemparentés.
Et lorsque l’école se met à externaliser la difficulté, parce que l’école ne peut pas, ne se sent plus, l’enfant se met à être hors jeu.
Les enfants en risque sont sensibles à la qualité de l’ordre scolaire à différents niveaux : l’enseignement lui-même, l’organisation de la classe, le climat de l’école. Reste à donner à l’enfant un cadre sécurisant.
La forme scolaire fabrique le décrochage : la pression pour la performance, la hiérarchie des disciplines, la non prise en compte des rythmes d’apprentissage différents, etc. Une solution : le travail collectif en étant attentif à chacun.
Les élèves se protègent : ils deviennent très forts pour cacher qu’ils se protègent. Difficile de les repérer, en particulier en primaire.
Le challenge, c’est que les élèves se sentent à leur place, aient leur place à l’école. Le coeur, c’est le projet.
Les structures contre le décrochage sont des aides précieuses pour mieux comprendre un phénomène, amener à réfléchir et faire bouger tout le système scolaire.
Merci à Marie-Hugon et Philippe Goémé pour leur simplicité lors de cette intervention pourtant brillante…
La présentation des Maisons familiales rurales
500 maisons familliales rurales en France. Autant à l’étranger. 74 établissements sur les pays de la Loire. Deux jeunes sur trois qui continuent leur cursus, trois jeunes sur quatre qui s’insèrent directement suite à leur formation. L’approche des jeunes et des familles se situe d’abord sur de l’éducatif. La personne, le jeune donc, est pris en compte, notamment à travers le projet de formation, mais pas seulement, et est pris en charge par une équipe qui balaie tous les champs. Un travail avec le Burkina Faso est mené dans le département.
Le mardi 20 aout à 14h, un café sympathique nous a été offert en même temps qu’une information sur les Maisons familiales qui ont animé les participants des Rencontres. Il semble qu’ils se retrouvent bien dans l’esprit et la manière de travailler des formateurs et moniteurs des MFR…
Thierry Gallard, directeur régional des MFR nous a parlé de la pédagogie des maisons familiales rurales. Pascal Pinon, directeur départemental, a présenté l’action des MFR dans le Maine et Loire. Ont suivi les interventions de la directrice de la MFR “La saillerie” et du directeur de la MFR “Le Cèdre” dans laquelle nous avons été reçus admirablement bien toute la semaine.
Vous pouvez retrouver une interview de Patrick Guès responsable du service communication à l’Union nationale des Maisons familiales rurales, et de Christophe Bernard formateur aux MFR, sur notre site.
Pour terminer, une photo en forme de sourire, à l’image de ces Rencontres chaleureuses qui ont permis à tous de réfléchir, préparer, discuter, projeter.
Cathy Marret et Jacques Tenier, vous organisez les Rencontres du CRAP depuis plusieurs années. Pourquoi y vient-on, mais surtout pourquoi y revient-on ?
La première fois, c’est par curiosité : « Tiens, j’irais bien là pour terminer les vacances, c’est pas trop loin et ça peut être amusant avant la rentrée » ; ou par intérêt ou besoin : « Bon, je vais avoir des problèmes à la rentrée avec… ; j’ai lu un truc pour ça dans les ‘Cahiers Pédagogiques’, je vais pouvoir m’y préparer ».Et puis après, on y retourne : « Ça m’a bien plu, je remettrais bien une deuxième couche » ; ou « J’ai rencontré … et j’aimerais bien travailler un peu avec [lui, ou elle, selon les affinités] » ; mais aussi : « qu’est-ce qu’on se marre, quelle bonne solution pour terminer les vacances ; tiens, j’y retourne ».
Mais surtout, le virus est devenu actif, l’accoutumance est irrésistible – c’est mieux qu’une drogue ! -, quand on se retrouve à l’assemblée générale de l’association fin octobre et que, sans s’en être rendu compte, on est devenu animateur d’atelier…
Qu’est-ce qui va faire la particularité des Rencontres de cette année ?
Cette année, ça sera l’année de la reconstruction de l’école. L’an dernier, on était encore sous le coup de la gueule de bois de l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement de gauche ; maintenant, un an plus tard, on est dans la reconstruction d’une École pour laquelle nos valeurs sont maintenant officiellement reconnues et proclamées au plus haut dans les discours. Nous avons une responsabilité, il faut l’exercer dans l’action et ne pas nous effacer devant les attentes. Le CRAP doit être présent sur ce chantier, soyons-le dès cette rentrée, qui est capitale. Et quoi de mieux pour préparer la rentrée que les Rencontres du CRAP ?Vos meilleurs souvenirs à vous, quels sont-ils ?
Jacques ?
Je me souviens…
… ma première arrivée, la première personne rencontrée : Philippe Watrelot.
… ma première participation à un brassage, le moment où j’ai fait connaissance avec le groupe :
« Bonjour, alors, comment tu t’appelles ?
Ben, Jean-Michel Zakhartchouk.
Ah ?…»
…ma première animation d’atelier, qui était aussi ma deuxième participation
…mes craintes de la routine. Mais non, jamais !
Cathy ?
L’émotion au départ de mes premières Rencontres : la sensation d’avoir enfin trouvé une famille de pensée pour l’école.
Les Rencontres 2013 proposent de « construire l’École de tous et de chacun ». Et cela s’inscrit bien dans le courant de reconstruction initié depuis l’arrivée du nouveau gouvernement, avec notamment Vincent Peillon, Ministre de l’Éducation nationale, qui tente cette reconstruction avec toutes les difficultés que l’on connaît.
Dans cette École en reconstruction, la pédagogie et donc notre mouvement trouvent naturellement leur place.
Pour apporter nos pierres à cette reconstruction, cet été 2013, nous vous proposons de choisir un atelier thème et un atelier activité parmi les suivants :
Ateliers thèmes
1. Comment travailler avec les familles
Corinne Brisbart et Jean-Michel Zakhartchouk
2. Quelle éducation laïque à la morale ?
Élisabeth Bussienne et Michel Tozzi
3. Un chef-d’œuvre, sinon rien (travailler en équipe)
Emmanuel Gunther et Christine Vallin
4. De la relation à construire au sein de la classe
Hélène Eveleigh et Jeanne-Claude Mori
5. Écrire son quotidien au travail
Nathalie Bineau et Sylvie Floc’hlay
6. Lire, faire lire
Agnès Berthe et Patrice Bride
Ateliers activités
A. Danse et écriture : mouvements d’échange
Armelle Legars et Evelyne Clavier
B. À l’affiche de l’atelier théâtre : des masques pour le dire
Laurent Nembrini et Gilles Gosserez
C. Jeux de lettres et de chiffres
Sylvie Menet et Dominique Seghetchian
D. Cartes virtuelles sur table… pardon tablettes
Roselyne Ndiaye et Pierre-Louis Marret
E. Canoë
Marina Ferreruela et Michel Jaffrot
F. Exister, c’est créer
Caroline Elissagaray et Monique Ferrerons
(Voir plus bas la présentation développée.)
Le dimanche 18, une conférence-débat sera animée par Marie-Anne Hugon, chercheur en sciences de l’éducation, et Philippe Goémé, professeur au sein du PIL (Pôle Innovant Lycéen) qui regroupe plusieurs structures de raccrochage, tous les deux auteurs de « Le décrochage scolaire, des pistes pédagogiques pour agir » ouvrage récemment paru dans la collection « Repères pour agir ». Les questions qui seront abordées : les décrocheurs et les structures innovantes de raccrochage – en quoi les dispositifs de « raccrochage » nous aident-ils à penser l’école de tous et de chacun ? Qu’ont-ils à nous apprendre d’un « autre » fonctionnement de l’école ? Ce moment sera dédié au troisième auteur du livre, Philippe Taburet, professeur au PIL, lui aussi, et qui a disparu brutalement en janvier dernier.
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Les modalités de participation aux Rencontres
J’adhère au CRAP aujourd’hui.
Vous pouvez inscrire des enfants de plus de 3 ans. L’inscription d’un enfant implique sa participation aux activités spécifiques organisées pour lui, en fonction de son âge, sous la responsabilité d’un animateur, qui le prend en charge lorsque vous êtes en atelier, et qui vous laisse le retrouver pour partager les repas et les nuits.
Afin de constituer des groupes, merci d’indiquer pour chacun des enfants son prénom et son âge.
10 rue Chevreul 75011 PARIS
Tél. : 01 43 48 22 30
Fax : 01 43 48 53 21
Courriel : crap@cahiers-pedagogiques.com
Descriptif détaillé des ateliers
ATELIERS THEMES
➀ Comment travailler avec les familles ?
Corinne Brisbart et Jean-Michel Zakhartchouk
De la maternelle au lycée, ce sont souvent les « codes cachés » de l’école qui font la différence. Comment communiquer efficacement avec les familles, leur permettre de comprendre les demandes de l’école, comment faire des points de vue de chaque acteur une occasion de « tensions fécondes », sans confondre les rôles, sans créer de nouveaux dogmes . Il y aura matière à débats, mais aussi à produire des outils pour nos pratiques…
➁ Quelle éducation laïque à la morale ?
Élisabeth Bussienne et Michel Tozzi
Nous nous plaignons quotidiennement parce que les élèves nous/se manquent de respect, se bousculent, sont intolérants, ne savent pas écouter, dialoguer. L’injonction d’enseigner la morale, après celle d’éduquer à la citoyenneté, a bien souvent comme objectif plus ou moins avoué de « civiliser les sauvageons », de socialiser les élèves.
Il peut cependant y avoir d’autres buts : éduquer à la tolérance, transmettre les valeurs républicaines, former le jugement moral… On le voit, ni la définition de la morale (laïque, qui plus est !) ni son rôle à l’école ne font consensus. En même
temps, matière au programme ou pas, la proposition (souvent implicite et invisible) d’une morale est inséparable de ce qui se vit à l’école.
A un moment où la refondation de l’école va inclure un enseignement de la morale durant tout le cursus scolaire, il s’agit de s’interroger sur le pourquoi et le comment de nos pratiques quotidiennes en la matière, de clarifier les notions en jeu et de réfléchir sur ce que pourrait être une éducation « formelle » des élèves à la morale
➂ Un chef-d’œuvre, sinon rien (le travail en équipe)
Emmanuel Gunther et Christine Vallin
Chez les Compagnons, le chef-d’œuvre allie savoir-faire et originalité de l’apprenti. Cette réalisation concrétise à la fois une fin, l’aboutissement de la formation et du voyage de l’apprenti et un début, la lancement de sa vie professionnelle. C’est un chef-d’œuvre de cette sorte que nous réaliserons, par un travail en équipe. Apportez un projet, un challenge professionnels. Apportez aussi de quoi contribuer concrètement à la réalisation (papier pour des origamis, tissus, catalogues pour des collages, matériel informatique, instrument de musique, tronçonneuse ou plume
de calligraphie). Et l’atelier, le groupe, feront le reste !
➃ De la relation à construire au sein de la classe
Hélène Eveleigh et Jeanne-Claude Mori
Mettre en place des dispositifs aidant chacun à mieux se connaitre, pour comprendre ses agissements, sa manière de penser le monde et permettant à chacun de découvrir l’autre en étant plus ouvert à la différence. Faire le pari que cette démarche a un impact dans la classe, dans nos relations avec les élèves.
Prendre du recul en parcourant des textes d’auteurs, de personnes de terrain ayant travaillé sur le thème des relations dans la classe.
Faire émerger notre propre approche de la question et nous donner envie d’aller plus loin.
➄ Écrire son quotidien au travail
Nathalie Bineau et Sylvie Floc’hlay
Pourquoi pas mais comment faire? Et si on essayait pour voir ? Pas tout seul, pas à partir de rien, pas sans cadre. Ni études de cas, ni théorie, mais atelier d’écriture. Papier, crayon. Modestement. Pas ce qu’il faudrait faire : notre activité réelle. Pour comprendre ce que ces écritures réflexives, aux formes diverses, nous permettent d’élaborer.
Pour réfléchir au processus, voir avec quelles techniques nous pouvons écrire, lire, échanger autour des textes, éventuellement réécrire. Pour rencontrer aussi nos élèves et nos pratiques de classe même si le but n’est pas l’analyse des pratiques.
➅ Lire, faire lire
Patrice Bride et Agnès Berthe
Les pratiques de lecture, tant du côté des enseignants que des élèves, tant sur papier que sur numérique, tant dans les apprentissages classiques que dans des formes de lecture plus experte du côté des compétences documentaires.
ATELIERS ACTIVITÉS
Ⓐ Danse et écriture: mouvements d’échange
Armelle Legars et Evelyne Clavier
Que vous soyez danseurs ou non danseurs, à l’aise ou non avec l’acte d’écrire, nous vous proposons de faire l’expérience d’un mouvement qui puisse relier danse et écriture et qui puisse nous relier les uns aux autres. « Il ne s’agira pas de reproduire ou d’inventer des formes mais de capter des forces » (Gilles Deleuze). Il s’agira alors
d’éprouver que le corps peut faire texte et le texte prendre corps. Nul besoin d’un corps ou d’une plume agiles : chacun prendra appui en lui-même et sur les autres pour s’exprimer, pour prendre confiance dans sa capacité à dire, par le geste ou par les mots.
« Apprendre » par corps » tel sera l’enjeu de cet atelier où l’écoute sera audition et perception mais aussi attention à l’autre en vue d’un partage et d’un échange ainsi que tension vers un mouvement collectif.
Construire ensemble l’école pour tous et pour chacun peut donc peut-être passer par un corps en acte, qu’il soit individuel ou social.
Ⓑ A l’affiche de l’atelier théâtre : des masques pour le Dire
Laurent Nembrini et Gilles Gosserez
Un bien étrange parcours vous attend. Quels sont donc ces Masques ? A chacun de se laisser voguer vers une invitation au voyage unique. Tous ces personnages invitent à remonter le temps. Devenu acteur, façon commedia dell’arte, laissez-vous séduire au fil de l’alchimie initiatique par nos doubles Tout en masques. Créer et déguster ces formes animées, imaginez-les: s’observant, s’étonnant, échangeant, avant de se faufiler à la quête d’un improbable Arlequin. Au détour d’un songe, peut être raconterez-vous aussi La Belle ou la Bête (si, si, comme dans la scène du
film de Jean Cocteau !). Il est temps, à présent, de passer de l’autre coté du miroir…
Les masques, ombres et lumières prennent la parole !
Ⓒ Jeux de lettres et de chiffres
Sylvie Menet et Dominique Seghetchian
En décloisonnant un Club Math en Jeans et un OUvroir de LIttérature POtentielle et NUmérique, nous vous proposons de rechercher, manipuler, coopérer, créer ; d’associer imagination et raisonnement, de jouer avec les chiffres et les constructions comme avec les images et les mots, de bricoler, de donner de la voix, de mettre sur le papier, de porter à l’écran… Nous vous proposons d’expérimenter, en français et en maths, des « jeux » qui libèrent les capacités d’apprendre.
Ⓓ Cartes virtuelles sur table… pardon, tablettes
Roseline Ndiaye et Pierre-Louis Marret
Jouons aux cartes en marchant à pied dans la douceur angevine…
Sans être ni des geeks, ni des ornithologues, nous allons découvrir l’ histoire et l’environnement angevin, utiliser des cartes en lignes et partager nos pensées et photos dans un tumblr… ou un blog selon affinité.
Ⓔ Canoë
Marina Ferreruela et Michel Jaffrot
Faire du canoë : un prétexte pour expérimenter et réfléchir à notre posture dans une dynamique de groupe. Quelle progression individuelle et collective ?
Embarquons-nous dans des découvertes aquatiques en canoë en eaux calmes, sur la Sarthe, La Maine, La Loire. Jeux d’eau, coopération, bonne humeur, oiseaux, patrimoine, crème solaire, équilibre, pique-nique, se laisser porter, pagayer, chapeau, orientation, (se) découvrir. Nul besoin d’être sportif. Amusons-nous ensemble !
L’objectif prioritaire n’est pas la ballade mais le développement de la coopération à travers la pratique de jeux sportifs sur l’eau et dans lesquels nous n’aurons pas tous la même maîtrise.
NB. : Cet atelier est « sous réserve » d’un nombre minimal de participants de 8. Contribution financière de 20€ (pour moitié du coût, l’autre moitié étant prise en charge par le CRAP).
Ⓕ Créer c’est exister
Caroline Elissagaray et Monique Ferrerons
Cet atelier a pour objectif de découvrir ou de redécouvrir le plaisir de dessiner, de créer et d’expérimenter. Méditer, se relaxer, pour mieux accueillir le monde environnant, et découvrir ses images intérieures. Agir sur ou avec la
nature pour trouver d’autres postures de création.
Il s’agira de vivre le plus sereinement possible l’atelier, en considérant l’expression artistique comme une parenthèse créative pour développer différents types de productions dans le respect des rythmes de chacun(e), et se mettre en situation propice pour vivre au mieux les techniques artistiques, pour aller à la rencontre d’autres sensations, la base même de la création ?
Cet atelier s’adresse plutôt à des participants désireux de tenter des expériences artistiques et poétiques plutôt qu’à des gens aguerris en matière de dessin ; en même temps nous sommes ouvertes aux compétences que chaque
participant apportera.