Violence et pédagogie

Il a fallu l'accumulation fortuite de plusieurs affaires dans le courant du mois de janvier pour que les médias, soudain et une fois de plus, s'émeuvent de la violence-qui-gangrène-l'école. Alors, comme un seul homme et comme d'habitude,…

Violence, collège, média

Lundi 3 janvier 2000, jour de rentrée des classes, les journalistes ont chaussé leurs bottes pour aller vers les plages sinistrées et les forêts dévastées. Oublié le bogue, et peut-être oubliée la campagne annuelle sur la violence à…

L’exclusion

Il y a quelques jours, dans un collège de Marseille, situé dans les quartiers Nord et appartenant à un réseau d'éducation prioritaire, une scène banale de " violence scolaire " a connu un développement qui devrait donner à réfléchir…

Retour de fêtes

Retour de fêtes : les élèves affichent un air frais et dispos. Merci le bogue pour la journée de récupération supplémentaire On échange quelques mots sur les événements qui ont marqué les derniers jours : le naufrage de l'Erika est…

Le blues du « Pays blanc »

Entre les cinquante mille morts du Venezuela et les quarante mille oiseaux mazoutés de la marée noire, il n'y a évidemment pas de commune mesure. Entre les inondations en Asie et celles de l'Aude, toute comparaison serait superflue. Enfin,…

Pédagogie quand tu nous tiens

Lundi 13 décembre 1999 Le Monde et Le Monde de l'éducation organisaient à la Cité des sciences et de l'industrie un grand débat contradictoire sur le rôle des enseignants, Éduquer ou enseigner ? François Dubet, Laurent Jaffro, Jean-Pierre Le Goff, Philippe Meirieu, Henri Pena-Ruiz, Marie-Danielle Pierrelée, Daniel Tual-Loizeau, Jean-Michel Zakhartchouk étaient invités, leur débat était animé par Edwy Plenel, directeur de la rédaction du Monde). Au-delà du thème proposé à la discussion, la liste des invités pointait l'actuelle (ou éternelle ?) confrontation entre des pédagogues et ceux que l'on nomme parfois républicains (en l'occurrence Jaffro, Le Goff, Pena-Ruiz, Tual-Loizeau). Davantage qu'un compte rendu voici un point de vue sur ce débat.
Merci messieurs, je n'ose pas ajouter mesdames, il n'y avait qu'une femme et elle a si peu parlé. Oui, malgré la facilité quelque peu démagogique de certains propos, malgré les évidentes caricatures parfois cyniques ou violentes, merci pour ce grand débat contradictoire (comme il était indiqué sur mon carton d'invitation), merci de m'avoir un peu aidée à comprendre, à comprendre mon militantisme pédagogique.

Le Salon de la consommation

LE PREMIER SALON DE L'EDUCATION

Le tarot dans l’escalier

LE PREMIER SALON DE L'EDUCATION

Entre pédagogie et grande foire

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Scoop toujours…

LE PREMIER SALON DE L'ÉDUCATION