Le bonheur à l’école
Quand je reçois un nouveau numéro des Cahiers pédagogiques, je commence par le feuilleter et pioche au gré des titres un, deux, puis trois articles à lire, avant d’en faire parfois une lecture plus exhaustive…
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Quand je reçois un nouveau numéro des Cahiers pédagogiques, je commence par le feuilleter et pioche au gré des titres un, deux, puis trois articles à lire, avant d’en faire parfois une lecture plus exhaustive…
Sur les murs de nos villes (ou villages) apparaissent des messages inscrits en lettres noires sur fond blanc. Au cœur de la nuit des collectifs de colleuses sortent et nous interpellent. Parmi ces messages on trouve « Je te crois », en majuscules.
Les expressions école inclusive, éducation inclusive, ou encore inclusion, sont omniprésentes dans le quotidien des enseignants, sans que nous en ayons nécessairement une définition consensuelle.
Le souvenir d’une réunion de parents d’élèves remonte de temps en temps à la surface. C’était au temps où mes enfants étaient encore scolarisés.
L’école inclusive tente de donner une chance à tous les élèves. Mais se pose la question de l’après, quand les jeunes rentrent dans la vie active.
L’autorité à l’école a mauvaise presse. Comme le mentionne le chercheur Bruno Robbes, soit on lui reproche de ne pas être assez exercée — elle a été « abandonnée » au profit de la permissivité —, soit son usage est confondu avec celui de l’autoritarisme, qui signifie avoir recours à la force, voire à la violence, pour imposer des décisions considérées comme injustes ou arbitraires.
Les adaptations pédagogiques sont indispensables pour favoriser l’inclusion des élèves à besoins particuliers. Sans pour autant être nécessaires à tous les élèves, elles invitent à un questionnement sur la différenciation.
Plongée dans un système scolaire désorganisé mais qui fonctionne encore, avec des enseignants démunis pour accueillir des enfants en souffrance et des familles déroutées.
Le témoignage d’une élève sur ses difficultés pour obtenir des aménagements adaptés à son handicap.
Dans un contexte français où le programme scolaire a une forte place, les enseignants s’autorisent parfois à modifier le contenu et le contenant de cette prescription pour s’adapter aux élèves : ils différencient. On appelle cela l’adaptation curriculaire. L’autrice liste les outils qu’elle utilise pour différencier.
L’échec définitif d’un élève en mathématique est impossible. C’est l’avis de Laure de Saint-Raymond, professeure à l’Institut des hautes études scientifiques et membre de l’Académie des sciences. Rencontre avec une passionnée.
Décembre 2004. « Sur le fil, toute la vie se joue, Sur le fil, se noue se dénoue, Et j’ai mis dans le pré mes espoirs à sécher, Sur le fil, dans mille ans peut-être »… Entre rythmes jazzy et cadences tombées du ciel, entre poésie et humour, sur scène comme sur un fil, Jacques Higelin dépoussière Trenet, […]
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