Archive d’étiquettes pour : histoire-géographie

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« À quoi ça sert de parler de massacre ? »

L’interpellation était venue d’un père d’élève, membre d’une secte janséniste se perpétuant dans le XXe arrondissement, à propos d'un cours de 3e sur la Première Guerre mondiale. Sur le carnet de correspondance, il demandait à l'enseignant à quoi ça servait de parler d’un massacre.
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Passible de conseil de guerre ?

Entonnée par des soldats mutins aux lendemains la terrible hécatombe de l’offensive de Nivelle, « La Chanson de Craonne » fait partie de notre patrimoine culturel désormais. Mais l’évoquer en classe reste toujours un peu subversif.
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La guerre vue d’Allemagne aujourd’hui

L’Allemagne ou son prédécesseur, l'Empire allemand, ont joué un rôle dominant dans le bellicisme et, avec les autres puissances européennes, n’ont pratiquement rien fait pour éviter une guerre. Ainsi, en République fédérale, ce passé donne lieu à des évènements évoquant la Première Guerre mondiale dans ses différentes facettes. Il est cependant difficile de parler, dans ce contexte historique, de « commémorations ».
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Un souvenir très présent

Un témoignage qui confirme, ô combien, que la Grande Guerre était vraiment mondiale et que sa commémoration le sera également. Un vécu au cœur du projet « Shared Histories ».
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À l’autre bout du monde (Nouvelle-Zélande)

La Nouvelle-Zélande se prépare à commémorer le centenaire de la Première Guerre mondiale. Cette commémoration aura ici une résonance particulière. En effet, la participation de la Nouvelle-Zélande à la Grande Guerre a été l’un des épisodes les plus marquants de l’histoire de ce pays et a contribué de manière décisive à façonner son identité en tant que nation. Plus de 100 000 Néozélandais, sur une population qui, à l’époque, ne dépassait guère un million d’habitants, ont servi sur les différents théâtres de la guerre. Un grand nombre de familles ont été affectées par cette épreuve et en conservent le souvenir de génération en génération.
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Remembrance

Un projet mis en place avec une classe de 3e autour d’un échange avec des élèves danois, en anglais et en interdisciplinarité (anglais-histoire), afin de mettre en résonance les deux guerres mondiales et leur souvenir dans les pays concernés.
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Jouer l’engrenage des alliances de 1914

Comment vivre un moment fondateur d'un cours sur 1914-1918 dans une classe de 1re ? Com­ment surprendre les élèves et les faire adhérer au projet d'en apprendre plus sur la Grande Guer­re ? Comment faire comprendre un mécanisme d'engrenage des alliances, mais aussi entrer dans la complexité des intérêts contradictoires qui animent les sociétés occidentales en 1914 ? Un dispositif complexe, de la famille des jeux de simulation.
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Le rami de la Grande Guerre

Quand la construction d’un jeu permet à des élèves de 3e de s’approprier davantage les connaissances sur la Grande Guerre et des aspects de la mémoire collective.
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C’est quoi, la guerre de 14-18, pour toi ?

Les élèves ne sont pas des pages blanches. On le sait, on le répète, mais parfois on en doute face à leur mutisme. Il existe cependant plusieurs manières de recueillir leurs représentations, de réveiller leurs connaissances et de travailler avec.
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« Vous n’avez pas fait une petite erreur de chronologie ? »

Dans le cadre d’une manifestation littéraire rémoise, Interpol’art, cette enseignante de lettres d’un petit collège de la Marne a organisé un travail sur l’ouvrage La Cote 512 débouchant sur une rencontre avec l’auteur, Thierry Bourcy. Le roman policier comme source de motivation, mais avec des élèves vigilants sur la précision des faits
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Journaux de guerre à Clisthène

Le collège Clisthène fonctionne notamment avec des temps de projet interdisciplinaire revenant régulièrement. C’est ainsi que la Première Guerre mondiale a été abordée en cinq séances de deux heures, associant histoire, français et arts plastiques et permettant un ancrage des connaissances dans la mise en œuvre d’une compétence.
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Avec le lieutenant Greg Blondin, chef de troupe

Un travail avec un auteur de BD et en amont, une préparation créative et motivante. Mais aussi, dans un département particulièrement marqué par ce conflit, une interrogation sur le sens des commémorations à venir.