Casser les murs
Une organisation spatiale spectaculaire pour un « projet fou » en 5e primaire (CM2) dans une école belge.
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Une organisation spatiale spectaculaire pour un « projet fou » en 5e primaire (CM2) dans une école belge.
Co-intervenir, c’est accepter d’être vu, de voir, d’intervenir sur des sujets qu’on ne connait pas forcément… Mais aussi d’assumer les différences avec l’autre co-intervenant. Quelques exemples de co-intervention dans des classes de collège.
« C’est tout un art, la dispute conjugale, un art très ancien et très respectable. » Jean Anouilh, Les Poissons rouges, Gallimard, 1972 L’injonction institutionnelle à co-intervenir est au cœur de l’actualité pédagogique : le partenariat reste fortement incité , le rôle éducatif des agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles (Atsem) est renforcé, la présence des accompagnants d’élève en […]
Alors que l’inclusion est peu répandue dans les pratiques éducatives au Brésil, une école a pourtant décidé d’aller à contrecourant en élisant des étudiants avec un handicap intellectuel parmi les représentants de son conseil d’étudiants.
Fragilité. L’étude Timss publiée début décembre 2020 mesure les performances en mathématiques et sciences des élèves de CM1 et de 4e. La France s’y est classée avant-dernière sur 49 pays. Sébastien Planchenault, président de l’Apmep (Association des professeurs de mathématiques de l’enseignement public), analyse ces résultats pour nous.
Au sein d’un IME (institut médicoéducatif), le coenseignement pour aider les enfants et jeunes adultes en situation de handicap à intégrer les groupes.
Quatre heures hebdomadaires de projets, cinq semaines entièrement interdisciplinaires et, depuis deux ans, trois maxi-projets d’une durée de deux jours et demi : depuis douze ans, à Clisthène, l’interdisciplinarité occupe un tiers du temps pédagogique. Avec du recul, l’équipe ne remet donc pas en cause ses bienfaits.
Dans un quartier populaire du canton de Genève, récit d’une pratique qui s’efforce de concilier deux logiques : transmettre des savoirs formels et donner du sens aux apprentissages en finalisant l’activité des élèves à partir de situations problèmes, de projets, de questionnements collectifs.
L’auteur est professeur de mathématiques à Calais. En classe de 6e, il profite d’un module de deux heures pour effectuer différentes sortes de travaux avec des collègues d’autres disciplines. Lors de ce créneau, deux classes sont alignées avec quatre enseignants : deux professeurs de mathématiques, un professeur de français et un professeur d’histoire-géographie-éducation civique. Des conditions idéales pour croiser les disciplines.
Dans ce lycée, un projet pluridisciplinaire a vu le jour sur les heures d’aide personnalisée, pour initier à la philosophie des élèves de 2de. Le thème retenu, l’évolution de l’homme, a ainsi pu être étudié en SVT, histoire-géographie et philosophie. Spontanément, les élèves assimilent la notion d’évolution à celle de transformations physiques et techniques. Plus difficile pour eux d’y associer des transformations politiques, éthiques ou psychologiques.
Depuis près de dix ans, au lycée Le Verrier de Saint-Lô, deux enseignants de première tentent de redonner le gout de la lecture aux élèves en menant une expérience de travail croisé en lettres (avec l’objectif de l’épreuve anticipée de français de juin) et en histoire-géographie. L’ensemble des activités menées doit conduire les élèves à obtenir de bons à très bons résultats lors de leur oral, mais aussi mettre en place des bases culturelles qui seront des leviers à leur réussite dans le supérieur.
En regardant vivre les mots. Ces mots qui nous agissent autant que nous pensions les dominer. « Croix » vient du mot latin crux qui a le sens de « poteau », « gibet », voire « potence ». Si chaque discipline était assimilée à une croix versus potence, le parcours scolaire de l’élève ressemblerait à […]
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