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« Faire la part entre le professeur fantasmé que l’on voudrait être et celui que l’on est en réalité », c’est ce que l’auteur cherchait dans le récit de ses débuts dans le dossier n° 557 des Cahiers pédagogiques, « L’autorité éducative ». Il s’est depuis trouvé un modèle…
Pour faire progresser les enseignants débutants dans la gestion de leur classe à travers l’analyse de séances en éducation physique et sportive, il s’agit de leur faire prendre conscience des différentes postures professionnelles qui contribuent à poser un cadre sécurisant et à encourager et accompagner les élèves dans l’apprentissage visé. Une proposition adaptable à tous niveaux et transférable dans toutes les disciplines.
Comment les enseignants d’éducation physique et sportive gèrent-ils la classe, alors que la pratique des activités physiques, sportives et artistiques (APSA) implique tout à la fois le déplacement des corps, le travail de groupe, des émotions plurielles vécues de manière collective et individuelle ?
Les élèves qui ne trouvent pas le sens de leur travail ne se régiront pas par eux-mêmes pour le réaliser et peuvent être tentés par une agitation oisive. L’injonction « soyez autonomes » ou la déploration « Ils ne sont pas autonomes » sont alors bien souvent associées aux questions de gestion de classe. Or, trois formes d’autonomie se cachent derrière la mise au travail des élèves. Il convient de savoir les distinguer.
Sophie Defour, professeure certifiée de lettres modernes à Saint-Étienne, pratique depuis 2014 ce qu’elle nomme la classe « évolutive » : toujours réflexive et à la fois inversée, coopérative et flexible. L’objectif : créer un cadre de travail serein et propice au travail pour toutes et tous.
Quand on s’appuie sur une enquête menée auprès de cinquante personnels entre 23 et 60 ans de toute la France, issus de tous types d’établissements (ordinaire, REP, REP+, centre-ville et rural), et qu’on recueille leur expérience et leurs réflexions sur leurs pratiques pédagogiques, on obtient des éléments concrets à mettre en œuvre au sein d’un établissement pour favoriser la gestion de classe.
Comment modifier et faire évoluer sa gestion de classe au fil des années. C’est sans aucun doute une question d’échelle…
Les pratiques en gestion de classe répondent à des profils d’enseignants que chacun peut déterminer et expliciter. Pour analyser et comprendre votre approche, répondez au questionnaire !
Une enseignante de lettres modernes nous fait voyager et partager ses expériences et ses impressions en lycée français de l’étranger. Voici notamment ce qui l’a marquée en matière de gestion de classe.
Gère-t-on sa classe comme son budget, son patrimoine ou une entreprise ? Gère-t-on les élèves comme on gère ses émotions, en les contrôlant ? Force est de constater que le mot gérer conduit à poser un regard très particulier sur le métier d’enseignant.
À l’occasion du lancement en novembre de la Tournée du climat et de la biodiversité, portée par l’association Météo et Climat, nous avons interrogé son responsable scientifique, le climatologue Serge Planton, qui a participé aux travaux du GIEC et contribué à des rapports sur le changement climatique et ses effets en France.
1987, un premier ordinateur entre dans ma classe, grâce à un père d’élève, un de ces ordinateurs avec disquette, muni d’un large et profond moniteur, d’une tour centrale lourde et bruyante.
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