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Incursion dans un pays dont le système éducatif est souvent érigé en modèle, et où les aménagements des espaces scolaires n’en sont plus à leurs balbutiements. Flexibilité, polyvalence, respect, bienêtre sont le quotidien des petits Finnois.
La redéfinition des missions des centres de documentation et d’information, non plus seulement conservatoire de documents mais également espace de loisir, de recherche physique et numérique, impose de repenser les espaces. Expérimentation dans un lycée international.
L’impact des outils numériques se voit non seulement dans la modification des pratiques et des postures enseignantes, mais aussi dans les changements de configuration de la salle de la classe, de son occupation par le professeur et les élèves et des relations qui s’y jouent. Mais nul besoin du numérique pour innover, coopérer et mutualiser.
Comment l’aménagement spatial des classes coopératives réussit-il à améliorer le climat scolaire, le bienêtre des élèves et la qualité des apprentissages ? Deux maitres mots : modularité et responsabilisation.
Dans cette école de Bretagne, les équipements extérieurs et intérieurs ont été pensés selon les principes et choix pédagogiques des enseignants pour faciliter les apprentissages, la modularité, le bienêtre des élèves. Un rêve, non, une expérience et un environnement tangibles !
Mettre l’architecture des écoles de demain au service de nouvelles pédagogies et accompagner les acteurs de l’école dans cette mutation, c’est la mission de ce projet qui prend en compte l’impact du numérique sur l’architecture des écoles et des établissements. Le numérique, dans le cadre d’une architecture et d’une pédagogie repensées, permet de redéfinir les relations entre les élèves et les professeurs et entre les élèves eux-mêmes.
Classe coopérative ? Classe inversée ? Classe numérique ? C’est tout cela à la fois ! Au-delà des dénominations et des modes, les élèves y fabriquent eux-mêmes leurs ressources d’apprentissage, s’approprient les espaces en fonction de leurs besoins et décloisonnent les usages stéréotypés des objets et des lieux.
En formation, le dessin permet de désamorcer les sujets sensibles, de laisser la place aux émotions et de favoriser la réflexion personnelle.
Lorsque j’étais rédactrice en chef des Cahiers, j’ai reçu un jour, au lendemain de la parution d’un dossier illustré par Pol Le Gall (que nos lecteurs connaissent bien), un coup de fil furibond du coordonnateur. « Qui a laissé passer des dessins pareils dans le dossier ? » Devant une telle colère, rassemblant mon courage, je réponds […]
Une compilation circonstanciée pour susciter la réflexion pédagogique, expérimentée lors de diverses formations d’enseignants.
Où l’on résout l’énigme Chourouk dans les cinq dernières minutes, comme d’habitude.
Où l’on voit un cube mystérieux transporter Chourouk au pays de Vygotski.
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