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Faire écrire en anglais des élèves en difficulté scolaire ? Un défi relevé avec enthousiasme.
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Faire écrire en anglais des élèves en difficulté scolaire ? Un défi relevé avec enthousiasme.
L’intégration d’élèves à besoins particuliers dans les classes est souvent l’occasion de mettre en place des pratiques de co-intervention entre un enseignant ordinaire et un autre spécialisé. Quelques études, au Québec et en Belgique, proposent de premiers bilans, qui incitent à généraliser ce type de dispositif.
Face aux élèves en situation de handicap, une sollicitude trop appuyée peut paradoxalement empêcher les apprentissages. Leur faiblesse présumée les dispose parfois à un enseignement insuffisamment exigeant, et, au final, discriminant. Plaidoyer pour une bienveillance émancipatrice.
En ULIS, la reconnaissance de handicap est mal acceptée par les adolescents garçons car, signe de faiblesse, elle contrevient aux codes de la virilité. L’auteure fait ici le pari qu’un atelier d’éducation artistique offre aux fantasmes sexuels un espace d’expression susceptible de canaliser la violence à l’égard des filles et des femmes.
AESH : Accompagnant des élèves en situation de handicap, anciennement AVS : Auxiliaire de vie scolaire ASH : Adaptation scolaire et scolarisation des élèves handicapés BEP : permet d’identifier les élèves à Besoins éducatifs particuliers CNEFEI : l’ancien Centre national d’études et de formation pour l’enfance inadaptée est devenu l’INSHEA (Institut national supérieur de formation et de recherche pour l’éducation […]
Une prise en charge adaptée des élèves dyslexiques en classe ordinaire ne relève pas de la seule bonne volonté de l’enseignant : elle peut être favorisée, ou non, par la nature des partenariats avec d’autres acteurs, comme le montre ce témoignage. Tous les ans, je suis confrontée à la difficulté d’accueillir un ou plusieurs élèves […]
Les accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) ont pour mission de faciliter l’autonomie et la réussite des enfants dans la classe, mais pour cela, ils doivent collaborer avec l’enseignant et il n’est pas toujours simple d’ajuster les deux postures. C’est ce que nous donne à voir ce récit de travail avec Marion.
Les besoins spécifiques des élèves entrainent des besoins spécifiques de formation pour les enseignants. Former qui ? Former à quoi ? Former comment ?
Un problème = une cause = une solution ? Ce n’est pas si simple. Pour délimiter et accroitre le champ des possibles, la diversité des approches et le dialogue entre professionnels sont nécessaires.
Dotée de bonnes capacités intellectuelles, scolaire, studieuse, persévérante, Garance déroule son parcours de vie scolaire et les réactions très diverses des enseignants face à sa dyslexie. Elle-même passe par des phases de découragement, alors qu’elle est très créatrice.
De plus en plus d’enseignants se forment, élaborent et mettent en œuvre des aménagements spécifiques pour les élèves dys. Travailler en équipe dans les établissements sous la forme de réseaux d’entraide et de mutualisation permet d’optimiser ces dispositifs et de repérer des zones de vigilance.
Certains établissements sont repérés par les parents, dans les associations ou par le bouche-à-oreille, pour l’attention qu’ils portent aux élèves à besoins particuliers. Du coup, ils accueillent beaucoup d’élèves dys et cela pourrait devenir délicat. Comment faire avec un tiers de dys dans sa classe ?
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