Question de confiance
Un enseignant qui valorise l’enfant, un enfant qui a plaisir à apprendre, des parents qui font confiance à l’école : commençons par essayer d’installer ce cercle vertueux, gage d’une possible coopération.
La classe est ouverte, qu’est-ce que ça change ?
Se rencontrer pour s’informer ? Ce peut être un début. Mais au-delà des discours, décider d’agir ensemble en se donnant un objectif précis, voilà qui peut changer les relations entre école et famille.
Orientation : beaucoup de monde, qui est au centre ?
En écho au propos précédent, une mise en perspective des évolutions qui ont bien changé les procédures d’orientation pour y injecter de la coéducation et des aides. Quitte à engendrer une jungle où ce sont toujours les mêmes qui ont les GPS.
Si on sortait ensemble ?
On peut faire un état des lieux plutôt morose des relations entre parents et école, mais ne pas s’en tenir là et proposer des journées dans les ronces et les orties, par exemple ? Voilà qui met tout le monde sur un pied d’égalité.
Ce que peut une commune
Ici, la coéducation s’élargit à un ensemble de partenaires, jusqu’à une dizaine pour suivre un enfant et mener un projet de réussite avec lui et ses parents. Éparpillement ou cohérence ? Tout se joue dans le rôle central de la coordination.
Sortons de nos tiroirs
L’école confinée a montré, s’il le fallait, que l’éducation ne se résume pas à la juxtaposition du temps scolaire et du temps à la maison, et que bien d’autres lieux, d’autres acteurs y contribuent.
Faire alliance
Travailler ensemble (parents, éducateurs, enseignants) nécessite de trouver patiemment un langage commun. Cette question traverse les pratiques pédagogiques comme les modes d’évaluation. La crise sanitaire aura-t-elle fait progresser la réflexion ?
Les débats sur les temps libres
Il est question ici de traiter de façon positive les désaccords entre adultes sur les temps de l'enfant, sans hiérarchisation des points de vue. Une utopie ? Le texte suivant nous dira que non, peut-être.
Une belle folie partagée
Deux ans de débats et de concertation dans une école, à l’initiative de parents d’élèves, pour aboutir à un projet pédagogique original. Espérons que ce ne soit pas une exception suisse !
Le grand écart
« Je t’aime, moi non plus », pourraient se dire, tous deux insatisfaits, bien des parents et enseignants. Peut-être parce que ceux-ci voient surtout des manques et incompétences dans les familles qui ne sont pas conformes au modèle attendu, et ils le font bien sentir. Comment rééquilibrer cette relation ?
La clé des maths
Partager des apprentissages avec les parents sans être des enseignants en surplomb, c’est possible ? Il semble que oui, grâce à la magie du jeu.
Souvenir d’enfance
En mai, fais ce qui te plait !Gambade, cabriole, flâne à ton gré.Cabriole malgré les plaiesau cœur des champs de blé.Flâne sous le soleil échaufféou à l'ombre des forêts.En troupe, les enfants gâtés,épris…