Les aléas de toute coopération
Pour être efficace, l’action collective doit surmonter une série d’obstacles. S’appuyant sur sa longue expérience d’analyse du changement dans le système éducatif, l’auteure nous présente les difficultés majeures.
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Pour être efficace, l’action collective doit surmonter une série d’obstacles. S’appuyant sur sa longue expérience d’analyse du changement dans le système éducatif, l’auteure nous présente les difficultés majeures.
Pour s’engager dans un travail d’équipe, mieux vaut qu’il apparaisse possible, désirable, dynamisant. Et c’est parfois le cas !
Michel Develay avait proposé aux Cahiers un texte mis en ligne sur le site en mai 2015. Nous en reprenons un extrait qui mérite qu’on s’y attarde. En lien, deux témoignages sur les dynamiques possibles autour des IDD hier et des EPI aujourd’hui.
Suffit-il d’échanger oralement pour faire équipe ? L’écrit ne contribue-t-il pas à consolider les échanges et à donner corps au travail d’équipe ? C’est ce qui ressort de ce témoignage.
Quand la pratique professionnelle se confronte à l’étrangeté de l’étranger, le travail d’équipe se heurte à de nouveaux écueils.
Une équipe de collège ZEP constate que les ressources humaines et l’engagement des personnes ne suffisent pas, elle a aussi besoin de temps institutionnalisé pour mener à bien ses projets.
Après deux années de recherche-action dans un collège , un premier bilan mitigé.
L’exhortation au travail collectif reste vaine si elle ne s’accompagne pas d’une déprivatisation des pratiques et d’une vision du métier qui donne toute sa place à l’éducatif.
Contribuer à un dossier sur le travail en équipe revient, pour les auteurs, à évoquer le fondement même du Cepmo (Centre expérimental pédagogique et maritime en Oléron) créé en 1982 : l’autogestion par l’équipe pédagogique. Retour sur l’année en cours.
Pour sortir du ronronnement et travailler à mieux faire progresser les élèves, une équipe se lance dans un projet interdisciplinaire. Fatiguant, certes, mais passionnant et dynamisant.
Faut-il travailler dans le même établissement, avec les mêmes élèves, pour faire équipe ? Non, nous dit l’auteure, à partir de sa longue expérience des groupes d’analyse des pratiques.
C’est sans doute l’aptitude à s’emparer de ce qui est prescrit et à le redéfinir collectivement qui est le signe le plus fiable de la présence de véritables collectifs de travail au sein d’une organisation.
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