Nouvelle recherche

Si vous n’êtes pas satisfait(e) des résultats ci-dessous, vous pouvez lancer une autre recherche

72 résultats de recherche pour :

49

L’école du théâtre

Dans mon petit lycée de province, que de cours ennuyeux et ternes ! Que de conformisme dans l’étude d’auteurs qui, pourtant, me parlaient et me donnaient envie de débattre ou de réfléchir ! Le cours magistral régnait en maitre, beaucoup de grattage de copies et quelques dialogues menés de bout en bout par des professeurs […]

50

Qu’as-tu appris à l’école ma fille ?

Moi ? J’ai la chance d’être entrée en 6e en 1960, juste au moment de la démocratisation qui permettait l’entrée libre, sans concours. Mon collège n’en était pas encore un, il avait le nom de « cours complémentaire ».

51

Apprendre la responsabilité et la confiance

Éloigné de mon pays natal, le Maroc, en raison d’intransigeantes ruptures familiales, j’habitais pendant mon adolescence en Picardie, à Abbeville, chez une tante musicienne, amie de grands écrivains et penseurs parisiens, dont le mari, centralien, dirigeait une usine à gaz et électricité de la région.

53

Trouver sa place

Je défends volontiers l’idée que l’expression théâtrale est un apprentissage de la vie, essentiellement parce que chacun doit se confronter à l’autre, qui va prendre plusieurs formes au cours de la mise en place d’un spectacle, et s’éveiller donc à soi.

54

hors programme

Ecole primaire, je saute une classe et gagne le prix d’honneur de la classe suivante. Le maire de ma ville distribue les prix à la cérémonie de fin d’année et me fait une bise mouillée de vieux bonhomme. J’apprends que les honneurs ne sont pas forcément des récompenses agréables.

55

La conscience des classes

À l’école, je n’ai pas appris à faire l’amour, mais à le vivre à distance et par procuration, plongé, perdu dans des romans toujours recommencés qui ne parlaient que de ses jeux et de ses hasards. Dans la vraie vie, l’amour ne fait pas école, il faut en inventer le cours soi-même. Tout ce qu’on peut en lire avant n’épuise jamais le coup de dé des rencontres improbables. Mais à l’école, depuis la maternelle, on peut aimer à merveille sa voisine de table

56

Des savoirs venus d’ailleurs.

Nantes. 1962. L’arrivée en classe de quatrième nous conduisit à changer d’étage et à rejoindre des bâtiments neufs, plus agréables que ceux des années précédentes. Je me souviens d’une ambiance joyeuse. La classe reprit une taille plus normale : une petite trentaine d’élèves au lieu des cinquante deux de l’année de cinquième. Une religieuse tonique, extravertie, un brin démago en était responsable – on dirait aujourd’hui professeur principal. Sa vitalité et son entrain rendaient cependant ses cours d’histoire /géographie intéressants. Grâce à elle, je vécus une expérience en cours de géographie qui me laissa des traces durables.

57

du fond de la mine

J’étais en seconde et, bien qu’assez bon élève, j’avais un rapport assez difficile avec l’école. J’avais l’impression d’y être un imposteur, de ne pas y être à ma place. La culture ouvrière dont j’étais issu (et nous n’étions pas encore très nombreux dans ces années-là) me semblait ignorée, voire méprisée.

J’ai fait mon entrée à l’école primaire dans les années soixante, et, à cette époque, nous étions triés (garçons-filles) notés, classés. Mon seul exploit durant cette scolarité élémentaire : avoir réussi à occuper successivement la place de dernier, tout au fond la classe… et celle de premier, tout devant. Bien sûr j’ai également testé tous les stades intermédiaires. Comme si j’avais voulu prouver, à mon corps défendant, la stupidité du classement.

58

Un compagnonnage de 40 ans avec le CRAP

J’ai l’âge des Cahiers Pédagogiques, créés en 1945. Je suis rentré en 1971 au Cercle de Recherches et d’Action Pédagogiques narbonnais. Et en 1985 j’ai intégré le Comité de Rédaction des Cahiers Pédagogiques, où je siège toujours. Dès cette époque, j’ai été élu au Conseil d’administration du Crap pendant de nombreuses années.

J’ai fait mon entrée à l’école primaire dans les années soixante, et, à cette époque, nous étions triés (garçons-filles) notés, classés. Mon seul exploit durant cette scolarité élémentaire : avoir réussi à occuper successivement la place de dernier, tout au fond la classe… et celle de premier, tout devant. Bien sûr j’ai également testé tous les stades intermédiaires. Comme si j’avais voulu prouver, à mon corps défendant, la stupidité du classement.

59

À la marge

Pour parodier Laurent Ruquier, je dirais qu’à l’école j’ai « tout essayé ».

J’ai fait mon entrée à l’école primaire dans les années soixante, et, à cette époque, nous étions triés (garçons-filles) notés, classés. Mon seul exploit durant cette scolarité élémentaire : avoir réussi à occuper successivement la place de dernier, tout au fond la classe… et celle de premier, tout devant. Bien sûr j’ai également testé tous les stades intermédiaires. Comme si j’avais voulu prouver, à mon corps défendant, la stupidité du classement.

60

L’école de l’empathie

Deux heures par semaine, les étudiants de l’AFEV accompagnent individuellement des enfants et des jeunes en fragilité scolaire et sociale dans les quartiers populaires. Les accompagnements se font la plupart du temps au domicile, en lien fort avec la famille.

J’ai fait mon entrée à l’école primaire dans les années soixante, et, à cette époque, nous étions triés (garçons-filles) notés, classés. Mon seul exploit durant cette scolarité élémentaire : avoir réussi à occuper successivement la place de dernier, tout au fond la classe… et celle de premier, tout devant. Bien sûr j’ai également testé tous les stades intermédiaires. Comme si j’avais voulu prouver, à mon corps défendant, la stupidité du classement.