
Éduquer, c’est politique
La 3ème Biennale internationale de l’éducation nouvelle s’achève avec la conférence de clôture par Philippe Meirieu et Laurence De Cock. Participants l’une et l’autre comme témoins, ils ont tissé des liens entre le propos introductif de Bernard Charlot et leurs picorages dans les échanges. De la cinquantaine d’ateliers et des vingt débats de ces quatre journées, ils ont dégagé quelques enjeux majeurs pour la poursuite de la convergence des mouvements de l’éducation nouvelle.

Plateforme 14. Une famille dans la Grande Guerre
D’un film à une plateforme numérique, des outils pour pouvoir travailler sur la Grande Guerre, dans les années à venir, à travers une microhistoire très représentative.

Avec Kubrick et Renoir
Des pistes pour utiliser en classe des films, en l'occurrence deux chefs-d'œuvre humanistes.

La guerre en chantant
Les chansons constituent un vivier de ressources originales pour aborder avec les élèves certains aspects de la Première Guerre mondiale comme la violence des combats (la brutalisation), le sentiment patriotique, le nationalisme ou la lassitude, voire l'esprit de révolte à compter de 1917. Sur un plan pédagogique, elles offrent la possibilité de travailler en interdisciplinarité, histoire, lettres, éducation musicale ou langues vivantes. Et dans le cadre de l'histoire des arts et d'un parcours consacré à la chanson au XXe siècle, elles offrent une thématique intéressante.

Qui sont donc ces « morts pour la France » ?
Une activité interdisciplinaire qui permet une utilisation des TICE dans un jeu de rôle qui amène chaque élève à se confronter à des documents authentiques numérisés.

Autour du monument aux morts
Le monument aux morts de la commune représente un objet d'étude pertinent pour l'enseignement de la Première Guerre mondiale, ses conséquences et sa commémoration. Il peut s'intégrer en outre à un parcours d'histoire des arts (art et mémoire, l'art dans la ville).

Les ressources dans une région marquée : la Picardie
La Picardie a été particulièrement touchée par la guerre, entre les fameuses batailles de la Somme, le Chemin des Dames dans l'Aisne et la fin de la guerre à Rethondes-Compiègne. Le CRDP de l'académie propose des ressources originales et intéressantes.

Une sélection de livres pour nos élèves
Les ouvrages sélectionnés illustrent la guerre dans ses différents aspects et permettent aux élèves de comprendre la grande Histoire à travers de petites histoires. Raconter, expliquer la guerre de 14-18 est une façon d’œuvrer et de célébrer la paix entre les peuples.

Un choix de ressources
Beaucoup de publications sont en cours sur la guerre de 14. On sera dans la profusion. Du bon et du moins bon. Ici, nous proposons un choix de quelques ouvrages, nouveautés ou classiques, utilisables en classe ou pouvant inspirer notre travail. On ne cite pas certains ouvrages très connus et contemporains, qui sont abondamment repris dans les anthologies de manuels scolaires et cités dans nombre d'articles de ce dossier : Henri Barbusse (Le Feu), Maurice Genevoix (repris dans le recueil Ceux de 14), Roland Dorgelès (Les Croix de bois) ou, plus tardif, Erich Maria Remarque, À l'Ouest, rien de nouveau(1929). Nous ajoutons quelques autres ressources non livresques.

Les guerres à l’école : remettre un peu plus d’Histoire
Comment étudier la Première Guerre mondiale ? L'une des animatrices du collectif Aggiornamento nous invite à ne pas en rester à des registres émotionnels et à nous replonger dans le contexte de l'Histoire.

L’Historial de Péronne, un lieu incontournable
En plein cœur d’un lieu qui vit une des plus intenses et meurtrières batailles de la Grande Guerre dans la Somme en 1916, l'Historial de Péronne, lieu très visité associé à un centre d'études fort réputé, est présenté ici par un membre de son service éducatif.

Traces de guerre
Une classe de 3e à PAC (projet artistique et culturel) s'apprête à mener ce projet en collaboration avec le Forum des images, en s'appuyant sur une expérience de trois ans. L'équipe poursuit ainsi un travail déjà engagé avec un cinéaste professionnel.

Un lieu témoin de la guerre : In Flanders Fields museum à Ypres
La Guerre a bien sûr touché douloureusement la Belgique, et le musée In Flanders Fields à Ypres en témoigne. Un lieu de mémoire qui permet aussi de travailler sur l’environnement géographique tout en proposant des parcours originaux ancrés dans le vécu des acteurs de l’époque.