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Comment le travail sur les émotions permet à une classe de quitter le mode de la violence pour adopter des comportements de citoyens responsables.
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Comment le travail sur les émotions permet à une classe de quitter le mode de la violence pour adopter des comportements de citoyens responsables.
Laisser faire, au lieu de faire à la place de. Une démarche éducative audacieuse : l’autonomie, ça se donne, ça se provoque.
Réflexion et travail collectif sur les modalités de vie commune dans un établissement, au fil d’une « semaine interdisciplinaire » où chacun va s’accorder une chance de bonheur.
Impliquer les élèves dans l’apprentissage de la vie en commun, belle formule qu’on ne sait pas toujours mettre en pratique. Une école s’y essaie, sans triomphalisme, où les enseignants rappellent et font vivre les valeurs de l’école républicaine.
Au Québec, le débat philosophique semble une voie à encourager pour dégager le cours de morale de ses origines religieuses et proposer une formation qu’on pourrait dire laïque de la personne et du citoyen.
Et si on considérait l’enseignement d’une morale laïque comme un accompagnement plutôt qu’un cours magistral ordinaire ? Il y a en tout cas une posture éducative adéquate à réfléchir.
Un projet mis en place avec une classe de 3e autour d’un échange avec des élèves danois, en anglais et en interdisciplinarité (anglais-histoire), afin de mettre en résonance les deux guerres mondiales et leur souvenir dans les pays concernés.
Le collège Clisthène fonctionne notamment avec des temps de projet interdisciplinaire revenant régulièrement. C’est ainsi que la Première Guerre mondiale a été abordée en cinq séances de deux heures, associant histoire, français et arts plastiques et permettant un ancrage des connaissances dans la mise en œuvre d’une compétence.
Dans le cadre d’une manifestation littéraire rémoise, Interpol’art, cette enseignante de lettres d’un petit collège de la Marne a organisé un travail sur l’ouvrage La Cote 512 débouchant sur une rencontre avec l’auteur, Thierry Bourcy. Le roman policier comme source de motivation, mais avec des élèves vigilants sur la précision des faits
La « lettre de poilu » ou la « lettre à un poilu » est quasiment devenue un genre en classe de 3e. On en voit plusieurs échos dans ce dossier et nul doute que l’année 2014 et les suivantes verront un épanouissement de ce type d’écrit. Comment faire de ces invitations à l’écriture une occasion de former les élèves à la réflexion sur les situations de communication et sur le rapport complexe entre scripteur et lecteur du fait de l’inévitable passage, ici, par la censure militaire ?
Nous prenons l’exemple de lettres écrites par quatre classes d’enseignants de français, Julien Fouque et Alexis Lager, du collège Berthelot de Nogent-sur-Oise qu’on peut d’ailleurs découvrir intégralement sur le site de l’établissement.
Un travail avec un auteur de BD et en amont, une préparation créative et motivante. Mais aussi, dans un département particulièrement marqué par ce conflit, une interrogation sur le sens des commémorations à venir.
La Lorraine est bien sûr en première ligne de la commémoration. Parmi les nombreux projets, l’un d’eux, sur la ligne bleue des Vosges.
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