Former et se former à partir du travail réel
À partir de traces de l’activité – ici, une photo adressée – les auteurs misent sur les ressources du groupe pour mieux identifier la nature d’une difficulté et accompagner son devenir.
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À partir de traces de l’activité – ici, une photo adressée – les auteurs misent sur les ressources du groupe pour mieux identifier la nature d’une difficulté et accompagner son devenir.
Si la collaboration entre praticiens et chercheurs n’est pas un long fleuve tranquille, leur confrontation est source d’apprentissage pour les uns comme pour les autres. Entretien avec Yves Reuter, professeur émérite en sciences de l’éducation et membre du laboratoire Cirel (Centre interuniversitaire de recherches en éducation de Lille).
Au sein de l’Institut coopératif de l’école moderne (ICEM), différentes formes de coformation sont mises en pratique. Si celles-ci ont évolué avec les nouvelles technologies de communication comme avec la pandémie, l’esprit est demeuré le même.
Entre formation initiale en Inspé et autoformation continue hors cadre institutionnel, le dispositif GPS cherche à promouvoir une autre idée de la formation via la constitution d’une communauté de pratique.
Webinaires, classes virtuelles, plateformes en ligne, etc… La crise sanitaire a multiplié des initiatives qui existaient auparavant de façon plus embryonnaire. Qu’en disent ceux qui les fréquentent ? Quels en sont les effets formatifs ? Enquête auprès des auditeurs des « jeudis de la recherche » dans l’académie de Versailles.
Parmi les fonctions relativement récentes dans le domaine de la formation des enseignants celle d’ingénieur de formation : s’agit-il de nommer autrement ce qui existait déjà ou d’ouvrir la formation à de nouvelles dimensions ?
Insatisfait des formations « officielles » qu’il juge trop verticales, l’auteur a contribué à promouvoir des formations parallèles. Il en rend compte dans cette interview.
Malgré la convergence des diagnostics sur l’inadéquation de la formation aux besoins des usagers et à l’efficacité du système, on a du mal à sortir de l’enlisement. Serait-ce parce qu’on ne s’attaque pas aux vrais problèmes ? Faut-il poser la question autrement ?
Après lecture des contributions de ce dossier, Patrick Picard revient sur les questions posées par l’usage d’un certain nombre de mots et de concepts, et en propose une lecture à partir de l’expérience qui est la sienne : une vingtaine d’années passées à concevoir et mettre en œuvre des formations et des ressources en direction d’enseignants, de formateurs ou de pilotes, notamment au centre Alain Savary de l’IFE (Institut français de l’éducation) dont il a été responsable de 2010 à 2018. Avec le but de nourrir des controverses à poursuivre.
Depuis sept ans, dans les cités éducatives, les territoires de la grande ruralité ou de l’éducation prioritaire de l’académie Nancy-Metz, Réseau Canopé développe un programme de résidences de formation en collège et en lycée.
Le Centre d’innovation pédagogique et numérique (Cipen) de l’Université Gustave Eiffel a créé des « Pauses Pédago’» pour permettre aux enseignants d’échanger autour d’un thème et de contribuer ainsi à leur développement professionnel. Présentation du concept.
Le CRAP organise deux types de webinaires : les uns accompagnent la sortie de chaque nouveau dossier (ou d’un ouvrage), les autres se centrent sur un objet de débat dans le monde éducatif. Ils permettent aux participants de rencontrer virtuellement les coordonnateurs et quelques auteurs des dossiers des Cahiers pédagogiques et de dialoguer avec eux par l’intermédiaire du chat. Peut-on parler pour autant d’une « nouvelle forme de formation » ? Trois des animateurs de ces webinaires donnent leur point de vue.
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