Le bonheur au collège
Réflexion et travail collectif sur les modalités de vie commune dans un établissement, au fil d’une « semaine interdisciplinaire » où chacun va s’accorder une chance de bonheur.
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Réflexion et travail collectif sur les modalités de vie commune dans un établissement, au fil d’une « semaine interdisciplinaire » où chacun va s’accorder une chance de bonheur.
Impliquer les élèves dans l’apprentissage de la vie en commun, belle formule qu’on ne sait pas toujours mettre en pratique. Une école s’y essaie, sans triomphalisme, où les enseignants rappellent et font vivre les valeurs de l’école républicaine.
Au Québec, le débat philosophique semble une voie à encourager pour dégager le cours de morale de ses origines religieuses et proposer une formation qu’on pourrait dire laïque de la personne et du citoyen.
Et si on considérait l’enseignement d’une morale laïque comme un accompagnement plutôt qu’un cours magistral ordinaire ? Il y a en tout cas une posture éducative adéquate à réfléchir.
L’auteur, à partir d’exemples tirés de son quotidien d’enseignant en collège, nous invite à une réflexion sur la question de savoir comment faire pour que l’histoire, mettant en scène la religion, puisse faire sens pour les élèves.
Les convictions religieuses ne peuvent être qu’une affaire privée quand on découvre l’histoire du genre humain, lorsqu’on participe à des discussions à visée philosophique. Si la parole du maitre est alors essentielle, ce n’est pas pour imposer une vérité, mais pour permettre aux enfants de progresser dans l’argumentation de leur point de vue, de découvrir la laïcité comme cadre de la réflexion commune.
À travers les échanges de débats à visée philosophique et de souvenirs de récit de vie d’une ancienne élève qui émergent, l’auteure nous montre aussi que « tout est question de point de vue, de filtres de lecture, de lunettes (ou d’œillères), d’histoires personnelles ou d’envie, de croyances aussi ».
Les relations des jeunes avec les religions ne peuvent plus se décrire par la simple opposition entre croyants et athées. Elles semblent se répartir sur tout l‘éventail qui va de l’athéisme militant à l’intégrisme en passant par toutes sortes de bricolages de croyances et d’ésotérisme des formes qui se manifestent plus fortement depuis les années quatre-vingt-dix.
Voici maintenant deux décennies que la place de l’« objet religieux » en histoire géographie pose question. Voici bientôt dix ans que les nouveaux programmes lui ont fait une place plus affirmée, et trois ans qu’avec la mise en œuvre d’un enseignement pluridisciplinaire du fait religieux le débat a pris une forme nouvelle. Alors que se passe-t-il réellement dans les classes ?
Pour l’enseignant qui s’apprête à parler de l’histoire des religions, le plus urgent est d’expliquer aux élèves quelle « posture » il va adopter : celle d’un doute qui peut, certes, les déstabiliser, mais qui ouvre les portes de la curiosité intellectuelle.
Un moyen très vivant et performant d’aborder les questions de rencontre avec le fait religieux, cela peut être le débat théâtral (ou théâtre forum), plusieurs fois présenté dans les Cahiers pédagogiques. Dans cet article, des extraits d’un des scénarios utilisés par la compagnie Entrées de jeu, à laquelle on peut faire appel dans son établissement […]
Grand spécialiste des religions, formidable vulgarisateur, Odon Vallet a écrit de nombreux ouvrages grand public, bien utiles pour bousculer certaines idées reçues ou pour mieux connaitre la réalité des religions d’hier et d’aujourd’hui. Un entretien à la veille d’un passionnant colloque à la Bibliothèque nationale de France (novembre 2016) qu’il introduit et conclut.
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