Des mots surviennent
Traces de l’animation de six séances d’atelier d’écriture avec des adolescents de 2de en lycée professionnel, dans le cadre d’un dispositif de raccrochage scolaire.
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Traces de l’animation de six séances d’atelier d’écriture avec des adolescents de 2de en lycée professionnel, dans le cadre d’un dispositif de raccrochage scolaire.
Écrire pour un blog, plusieurs fois par semaine : quel effet sur la pratique pédagogique en classe ? Pour Mara Goyet, l’exposition quasi immédiate aux lecteurs et le rythme d’écriture imposent une autoobservation et une tension dynamisantes pour (se) faire progresser.
Pourquoi est-ce que j’écris autant ? Voilà la question qui m’a été posée et à laquelle je dois essayer de répondre dans cet article. Et il m’a fallu presque six mois pour mettre en ordre dans ma tête la réponse à cette question.
Écrire pour évaluer, c’est se poser la question du message à faire passer et celle des destinataires du message, qui sont multiples. C’est trouver les mots pour faire le point, sans enfermer l’élève dans un instant donné. C’est aussi ne pas se contenter d’un constat, mais proposer des pistes pour progresser. En somme, c’est une tâche complexe.
Écrire pour évaluer, c’est se poser la question du message à faire passer et celle des destinataires du message, qui sont multiples. C’est trouver les mots pour faire le point, sans enfermer l’élève dans un instant donné. C’est aussi ne pas se contenter d’un constat, mais proposer des pistes pour progresser. En somme, c’est une tâche complexe.
Point d’appui pour redonner de l’élan à un groupe, outil pour retracer le processus d’une décision, réservoir à idées et réflexions, instrument de valorisation de l’intelligence collective, miroir dédramatisant du débat, le compte rendu comme vous ne l’avez jamais vu ou lu !
Personne ne peut enseigner exactement comme l’autre, encore moins comme le prolongement mécanique de quelque corpus prescriptif. Le manuel ne suffit pas, si on enseigne ; le dossier pédagogique non plus, si on est formateur.
Une exploration du travail de retour sur les textes produits dans des ateliers d’écriture à distance.
Pourquoi est-ce que j’écris autant ? Voilà la question qui m’a été posée et à laquelle je dois essayer de répondre dans cet article. Et il m’a fallu presque six mois pour mettre en ordre dans ma tête la réponse à cette question.
En quoi l’écriture de situations problèmes et leur partage transforment la posture du formateur et facilitent son savoir être ?
D’abord, écrire, pour soi, une situation professionnelle. Être à l’écoute de ce que cela fait resurgir en soi, les émotions, les questions. Partager cette expérience d’écriture, en groupe.
Sur la base de deux expériences d’écriture demandées à des étudiants en formation initiale d’enseignants (le Journal de formation) et à des enseignants en poste se formant à l’enseignement spécialisé (le Journal de l’étrange), ce texte tente de montrer comment certaines écritures vont au-delà de l’obéissance à la consigne pour devenir, par moments, un véritable instrument de réflexivité, permettant la rencontre avec soi grâce au détour par l’autre.
Chers lectrices et lecteurs,
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