Les limites de l’école dehors
Enseigner dehors comporte des risques qu’il convient d’identifier afin de les dépasser et de comprendre ce qui fait aussi la richesse de l’école dedans.
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Enseigner dehors comporte des risques qu’il convient d’identifier afin de les dépasser et de comprendre ce qui fait aussi la richesse de l’école dedans.
Une déclinaison québécoise de prépositions pour rendre compte des activités de, en, par, pour le plein-air, un modèle qui peut nous éclairer au-delà des spécificités nationales.
Faire l’école dehors, c’est aussi permettre à l’enfant de prendre à nouveau contact avec un tout dont il fait partie.
Au Québec, l’enseignement à l’extérieur connait un engouement depuis quelques années à travers des mouvements comme la forest school, l’école dans la forêt. Les effets produits commencent à être précisément étudiés.
Un exemple de partenariat entre une école et le Groupe rennais de pédagogie et d’animation sociale, (GPAS), une association qui utilise l’espace public et naturel comme source de découverte pour les enfants défavorisés qu’il accueille.
Cette recherche-action participative, lancée en 2018 et portée par le réseau École et Nature, associe de nombreux acteurs en France et en Belgique pour mieux connaitre les effets des pratiques pédagogiques scolaires dans la nature sur les enfants.
L’association Les Écologistes de l’Euzière, dans l’Hérault, lutte contre le manque de nature, une pathologie de la modernité, en organisant des rencontres dans des espaces naturels, qu’ils soient à la campagne ou en ville.
Un exemple d’études en cours, auprès de quarante classes, pour déterminer l’effet de différentes activités vécues dans la nature par des enfants sur leur perception de la biodiversité.
Comment intégrer l’école dans son milieu et faire entrer la nature dans l’école ? Un aperçu de ce qui se fait dans l’ancienne capitale du Dauphiné.
Entretien avec le seul élu régional délégué Éducation Nature-Environnement en France, qui porte une politique structurante au service de la transition écologique et s’intéresse de près aux expériences d’école dans la nature.
Construire l’école du dehors demande une formation que l’association Tournesol propose aux enseignants de Bruxelles et de sa région. Mais la coconstruction n’est pas si simple.
Au-delà de la « sortie », comment faire l’expérience de l’autre et se positionner dans la communauté citoyenne ?
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