Les enquêtes se multiplient sur les nouveaux usages numériques et les problèmes rencontrés par les enseignants. Mais une question reste peu considérée : celle de la place du corps de l’enseignant dans le cadre de la formation à distance. Un corps réduit à l’expression du visage.

Tortues, abeilles, humanoïdes… Des robots de sol programmables marchent ou roulent dans les salles de classes. Comment ces objets sont-ils perçus par les élèves, et comment ces représentations influent-elles sur les apprentissages ?

Lorsque l’on passe le concours de chef d’établissement, on imagine la responsabilité, les gestions de conflits ou l’innovation pédagogique. Mais une fois en place, la majorité du temps se passe devant un écran. Est-ce incontournable ? Quelles sont les priorités ?

En Suisse, dans le canton de Vaud, l’éducation numérique fait partie des priorités pour l’école. Une des possibilités pour aborder cet enseignement complexe, c’est d’y entrer par le quotidien des élèves.

Qu’il s’agisse d’inciter à la sobriété numérique ou de réduire la fracture du même nom, le plus important pourrait bien être de renforcer le pouvoir d’agir de tous et toutes. Entretien avec Manolie Ortiz de Zarate, médiatrice numérique des Ceméa en région Pays de la Loire.