Grandeur et misère de la protection de l’enfance
« La France n’est pas assez riche d’enfants pour qu’elle ait le droit de négliger tout ce qui peut en faire des êtres sains. » Où en est-on par rapport à cette belle phrase de l’ordonnance du 2 février 1945 sur la protection des mineurs ? Ne court-on pas les risques aujourd’hui d’un recul de ces nobles ambitions ?