Le 7e art et l’école
« En littérature, il y a beaucoup de passé et peu de futur, mais il n’y a pas de présent. Au cinéma, il n’y a que du présent qui ne fait que passer. »
Jean Luc Godard, Entretien au magazine Lire, 1997
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« En littérature, il y a beaucoup de passé et peu de futur, mais il n’y a pas de présent. Au cinéma, il n’y a que du présent qui ne fait que passer. »
Jean Luc Godard, Entretien au magazine Lire, 1997
Le cinéma a la force de relier les espaces et les temps : récit d’une projection d’un film se déroulant à Dakar dans un collège de Guyane.
Des programmes minimalistes ? Voici les retours sur deux expériences, l’une à l’université, l’autre en lycée professionnel.
Le cinéma a bien des atouts pour enrôler les élèves dans une réflexion philosophique : partir de références communes, capter l’attention, stimuler la mémoire comme l’investissement émotionnel.
Depuis les années 60, le système éducatif allemand était marqué par deux éléments : la journée de cours qui s’achevait à 13 h et l’organisation précoce en filières. Les deux sont en train de changer.
Janvier 1986. Après cinq ans de changement et de virages plus ou moins avoués, la désillusion et la torpeur semblent avoir envahi furtivement le pays. Les élections législatives qui se profilent sanctionneront la gauche au pouvoir. Dans ce contexte morose, mieux vaut se concentrer sur les petites graines plantées dans la période précédente par Alain […]
La présence de la caméra, de par les représentations du langage utilisé au cinéma ou à la télévision, du fait aussi des contraintes de format, oblige à s’exprimer différemment : c’est une occasion de travailler, d’apprendre la langue.
Dans le cadre d’une séquence en 4e sur le réalisme en littérature, je montre aux élèves le court métrage Cassandra. Durée : quatre minutes cinquante. Une fille d’environ 12 ans, filmée dans une voiture, explique que c’est dans cette voiture que sa famille et elle ont vécu trois mois. Elle donne des détails sur la vie […]
Apprendre à regarder un film, c’est d’abord comprendre ce qui est raconté, ce qui permet de comprendre la scène, d’être sensible aux personnages. Il sera toujours temps ensuite, si besoin, de recourir au vocabulaire technique de l’analyse filmique.
S’engager dans le projet de réalisation d’un film, c’est aussi s’engager à le terminer : coute que coute ? Quel est vraiment l’objectif ? Comment sait-on s’il est atteint ?
À quelles conditions le passage derrière la caméra peut-il être une occasion de découvrir la complexité de la réalisation d’un film, de travailler des concepts comme celui de « point de vue », de développer des compétences d’écriture ?
Ce qui fonctionne n’est pas toujours ce que l’on croit. Donc autant tout essayer.
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