Entretien avec Pierre Delion : « Faire groupe… »
Pierre Delion, pédopsychiatre, nous livre ses réflexions sur le groupe à l’école, et sur le rôle que doit jouer l’enseignant.
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Négociations en classe de sciences
/dans Abonnement, Revue 584Le collectif permet la construction des savoirs et l’entrée en science. L’exemple d’une classe de CM2.
Le chef d’établissement, pas si seul ?
/dans Abonnement, Revue 584Les chefs d’établissements ont rarement accès à des espaces pour dire les vécus, les blessures ou les réussites, pour contenir l’envahissement, mais aussi partager entre pairs. Il existe cependant des dispositifs qui le permettent.
Des collectifs au-delà de l’école
/dans Abonnement, Revue 584Le collectif ne se limite pas aux murs de l’école. Il peut faire réseau, réunir des compétences diverses ayant également un impact sur l’école. Trois exemples en Fédération Wallonie-Bruxelles de Belgique, au Québec et en Suisse.
L’établissement scolaire, un groupe ?
/dans Abonnement, Revue 584Une réflexion sur l’établissement scolaire, entité particulière intégrant des intérêts multiples, et sa capacité à “faire groupe”.
À qui parler ?
/dans Abonnement, Revue 584Comment gérer la tension entre attention à chaque élève et attention au groupe ?
Quand le groupe fait équipe
/dans Abonnement, Revue 584Sortir d’une relation hiérarchique, susciter les coopérations et reconnaitre l’engagement pour favoriser l’implication de tous.
Vivre le groupe
/dans Abonnement, Revue 584Et si pour mettre en place un travail en groupe fécond dans nos salles de classe, il nous fallait d’abord le vivre à titre professionnel et personnel ?
Cheminer ensemble
/dans Abonnement, Revue 584L’exemple d’un groupe de formateurs dont l’expertise s’est collectivement construite au long cours.
Aller plus loin en sécurité
/dans Abonnement, Revue 584Des ateliers offrant un cadre « hors menace » pour libérer la créativité et permettre l’épanouissement.
Depuis le temps : Un groupe qui swingue
/dans Abonnement, Revue 584Un texte de Françoise Carraud qui interroge l’évidence du groupe, constitutive de ce que Guy Vincent avait nommé dès 1980 « forme scolaire », que découvrent ses élèves de petite section de maternelle, d’abord comme une contrainte avant d’y trouver, peut-être, du plaisir.
Être dedans ou dehors
/dans Abonnement, Revue 584La dynamique de certains groupes peut générer un harcèlement que l’institution scolaire et ses acteurs doivent combattre en facilitant la socialisation.
