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Dialogue pour l’évaluation

On a beau parler d’évaluation formative, les livrets sont partout présents en maternelle. Et si on supprimait les livrets ? Et si on développait une expertise professionnelle de l’évaluation, en devenant capable d’observer les manifestations des savoirs de nos élèves, en situation plutôt qu’à postériori, de l’exécution de tâches ?

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Communiquer pour mieux éduquer

La scolarisation des enfants de moins de 3 ans invite à interroger les pratiques de l’école et notamment la relation entre l’école et la famille. Une école de la Goutte-d’Or, à Paris, a mis en place des ateliers des parents pour favoriser les échanges entre l’enseignant et les parents d’élèves.

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Un maitre dans sa classe ou une équipe pour l’école ?

Les enseignants exerçant dans une école maternelle d’un quartier défavorisé de la périphérie de Saint-Étienne ont choisi, pour la quatrième année consécutive, de constituer des classes multiâges afin de développer le travail coopératif. Leur parti-pris étant qu’il est plus opérant et porteur de valeurs de solidarité et d’entraide qui leur sont chères. Un travail d’équipe intense.

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Pensée logique et raisonnement

Il parait nécessaire de préparer le plus tôt possible les élèves à ce qui caractérise le travail mathématique : résoudre des problèmes. Commencer à développer chez les enfants, dès leur entrée à l’école maternelle, la pensée logique et la capacité à raisonner les aidera à apprendre à chercher.

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Mettre au centre la résolution de problèmes

Pourquoi et comment enseigner le nombre à l’école maternelle ? À cette question, la réponse la plus courante est qu’il faut manipuler. Le sens du nombre et du problème passe au second plan. Et pourtant, est-il si transparent que certains l’imaginent ?

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Le mystère des enfants peintres

Comment donner libre cours à la création artistique des enfants ? Comment leur permettre de s’exprimer tout en se confrontant aux contraintes de la matière ? Quelles situations de recherche proposer pour qu’ils s’engagent et osent se dépasser ?

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Le coin peinture libre

La peinture aurait-elle perdu les faveurs de la maternelle ? Ses enseignants proposent toujours des activités à leurs élèves, mais le constat est réel : la pratique tend à diminuer au fil des années. Les classes et les murs de la maternelle ont perdu, ici et là, un peu de leur éclat. Et pourtant…

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Allez mes petits !

Ces encouragements, inspirés par la célèbre expression du journaliste sportif Roger Couderc, ne sont pas à destination des joueurs de l’équipe de France de rugby, mais à mes élèves de petite section d’une école maternelle située en RRS (réseau de réussite scolaire) et en zone violence, à Nanterre.

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Des stratégies pour comprendre

Cet article relate la collaboration, longue de cinq années, entre une équipe d’enseignants, ceux de l’école élémentaire La Bastide de Grenade-sur-Garonne et un enseignant chercheur, André Tricot. Tout a commencé à l’issue d’une animation pédagogique dans la circonscription : les enseignants, qui ressentaient des difficultés, ont demandé au chercheur s’il pouvait les accompagner. Voici le récit de cette collaboration entre, disent-ils au terme de ces cinq années, « une équipe pédagogique et un chercheur, où l’on tente de deviner qui a apporté quoi à l’autre. »

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La mort dans la littérature jeunesse

De la petite fille de 4 ans qui veut « soigner les morts » aux élèves adolescents évoquant des séances de spiritisme, la mort fascine et interroge. Pourtant, quand il s’agit d’en parler avec les plus jeunes, on touche rapidement à des sujets difficiles, voire tabous tels que les croyances, le suicide ou le deuil, qu’enseignants comme parents craignent d’aborder. En cela, la littérature jeunesse française est une exception culturelle, n’hésitant pas à traiter ces thématiques dans des ouvrages pour les plus jeunes et prenant le parti non pas de censurer, mais d’adapter la forme pour parler des sujets les plus complexes sans dissimuler la réalité, même difficile. Une fois encore, partir de la littérature jeunesse permettra une plus grande distance critique de la part des jeunes lecteurs. La fiction donnant l’occasion d’éprouver ce que sont le deuil et la mort, sans avoir à connaitre le traumatisme d’un véritable décès ; le dialogue qui en découlera sera plus libre et réfléchi. Les ouvrages sélectionnés présentent des personnages condamnés par la maladie, d’autres confrontés au décès d’un parent, au travail de deuil, ou encore des héros s’interrogeant sur le sens de la vie, la souffrance, le suicide. Étonnamment, ces thématiques, bien que sombres, ne produisent pas des textes forcément tristes : entre humour, cynisme et espoir, chacune de ces lectures prouve au contraire notre insatiable amour de la vie ainsi que la capacité des plus jeunes à rebondir malgré les coups du sort.

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Jean, Sofiane, Shaïma et Pauline

« Il y a une école, à la clairière des loups, où l’on apprend aux loups à n’avoir vraiment peur de rien, dit Tom. Tu la connais ?
– Tu sais qu’il vaut mieux ne pas trop s’approcher de ce genre d’endroit !, fit Loulou. »
Loulou à l’école des loups, Grégoire Solotareff