BIEN DÉCODER POUR BIEN COMPRENDRE
Que nous disent les recherches sur les relations entre, d’une part, compréhension écrite et décodage en début d’apprentissage de la lecture et, d’autre part, décodage et capacités précoces de prélecture, d’analyse et de discrimination des sons du langage ? Ces recherches permettent-elles de justifier la nécessité d’évaluer et d’entrainer, dès la grande section, certaines capacités ? Sont-elles en phase avec le développement actuel des sciences cognitives de l’éducation et les travaux des fondateurs français des sciences de l’éducation ?