Et concrètement ?
Quelques exemples de coenseignement dans le cadre de l’inclusion.
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Quelques exemples de coenseignement dans le cadre de l’inclusion.
Est-il possible d’adapter à l’université des pistes utilisées fréquemment à l’école ou dans le secondaire dans l’enseignement spécialisé ? Voici quelques exemples.
Lors des échanges entre orthophonistes et enseignants, deux questions reviennent souvent : « Comment différencier dans une classe de trente élèves ? » et « Comment différencier dans une classe très hétérogène ? » Voici quelques pistes de réponses, qui n’ont pas valeur de leçon mais d’éclairage.
Que faudrait-il modifier dans le quotidien scolaire pour la loi de 2005 s’applique enfin ?
Poser le cadre, accueillir tous les élèves dans leur diversité et leur hétérogénéité sans catégorisation est un des piliers de la pédagogie institutionnelle. En quoi les pratiques de classe de cette pédagogie peuvent-elles être un levier de l’inclusion ?
Enseigner l’histoire-géographie à des élèves autistes ne va pas de soi et soulève de nombreuses questions. Malgré les difficultés de mise en œuvre, les échecs, il y a aussi de jolies petites victoires et c’est une expérience enrichissante pour l’enseignante. Témoignage.
Plutôt que de proposer une tâche d’apprentissage différenciée et peut-être excluante au final, la séquence personnalisable permet à Alexis, qui ne parle pas en grande section de maternelle, de participer avec ses camarades à la même pratique et de progresser à son rythme. Retour d’expérience.
Inclure les parents allophones par la mise en place de cours de langue française et d’explicitation du fonctionnement de l’école : une chercheuse analyse les effets d’un dispositif.
L’école en Italie a depuis bien longtemps intégré et mis en œuvre l’inclusion. Mais qu’en est-il aujourd’hui ?
L’EPS n’échappe pas aux enjeux éducatifs de l’égale réussite scolaire et éducative d’élèves aux origines sociales et géographiques plurielles dont les besoins éducatifs sont parfois spécifiques. Comment cette discipline relève-t-elle le défi de l’inclusion d’élèves primoarrivants en France ?
Comment assurer l’accès aux apprentissages et à un avenir professionnel et citoyen à des élèves qui ont peu ou pas appris à lire et à écrire ? L’enjeu est pris à bras le corps dans un établissement parisien.
Les spécificités des élèves à besoins éducatifs particuliers profitent à tous. Dans un collège du Vaucluse, les élèves expérimentent dès la 6e les classes flexibles et coopératives. Une manière d’expérimenter la mise en mouvement des corps dans l’apprentissage.
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