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À partir d’une cartographie des connaissances selon qu’elles sont déclaratives ou procédurales, générales ou particulières, implicites ou explicites, les auteurs nous amènent à situer les apprentissages scolaires. Où l’on comprend pourquoi avoir des difficultés à généraliser ou transférer des connaissances apprises à l’école relève de l’ordinaire.
L’envie d’apprendre n’est pas spontanée, la relation au savoir comme à l’enseignant est complexe. Mais bien des marges et des espaces existent face aux enfants qui refusent, à condition de ne pas les enfermer dans le fatalisme.
Avant d’envisager des remédiations dans un contexte éducatif, il est nécessaire d’avoir des clés, venues notamment de la psychologie cognitive, pour comprendre de quoi est fait l’ennui, ses différentes dimensions et les variables qui le différencient.
Comment prendre en compte l’état émotionnel de chaque élève lorsqu’il entre en classe avec, en plus de son cartable, sa vie de tous les jours ?
Avoir une idée de peinture, la réaliser, la montrer au groupe, un rituel en classe de maternelle que la délicatesse de l’enseignante transforme en émouvant partage.
Une réflexion collective sur les pratiques pédagogiques par le biais de l’écriture de monographies. L’expression des émotions, en nourrissant les institutions de la classe, y tient une place particulière.
Comment aider une enfant à dépasser un blocage et devenir pleinement sujet de ses apprentissages ? Par le travail de la monographie au sein d’un groupe, l’enseignante de cycle 2 essaie de comprendre sa logique pour lui ouvrir d’autres chemins de croissance.
À quoi dois-je penser pour la rentrée ? Comment accueillir mes élèves dans la classe ? Qui sont les personnes ressources à solliciter au quotidien ? Comment élaborer ma propre pédagogie et sur quels outils et données m’appuyer ? En alliant informations théoriques et conseils pratiques, la série Bien débuter en accompagne les nouveaux enseignants dans leur […]
La réforme des lycées, entrée en vigueur à la rentrée, complique singulièrement l’organisation des établissements et, en particulier, la construction des emplois du temps, de première cette année et de terminale l’an prochain. Voici une invitation à prendre cette complexité comme une occasion de recourir à l’intelligence collective.
Où l’on comprend pourquoi il est illusoire de vouloir évacuer les émotions des apprentissages scolaires, tout intellectuels soient-ils.
Que retire de la lecture du présent dossier une universitaire, spécialiste du rapport au savoir et des processus de transmission ?
Nul n’est à l’abri de l’échec. L’auteur, un enseignant spécialisé expérimenté, subit une attaque symbolique qui le fait sortir du cadre. Il nous explique dans l’après-coup ce qui s’est joué dans ce dérapage.
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