Souligner : pourquoi ?
Un éventail de possibilités en matière de traces écrites et d’annotations s’offre aux enseignants qui lisent et corrigent un écrit d’élève.
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Un éventail de possibilités en matière de traces écrites et d’annotations s’offre aux enseignants qui lisent et corrigent un écrit d’élève.
Pourquoi continuer à faire corriger les exercices au tableau ? Retour critique sur une pratique peu efficace, sinon contreproductive à partir d’un exemple en classe de Cours élémentaire 2.
Les erreurs dans l’apprentissage d’une langue étrangère dépendent de facteurs très différents. Pour les élèves confrontés à plusieurs langues, suite à un parcours migratoire, on considérera les erreurs avec souplesse et compréhension.
Les élèves n’ont-ils pas de bonnes raisons de ne pas écrire selon la norme ? Et s’ils en maitrisaient tous les codes, seraient-ils encore des élèves ?
En histoire, les élèves ont souvent des représentations fortes du passé, font des analogies avec leurs repères du monde actuel pour échafauder des explications. Comment les faire évoluer vers des savoirs plus étayés ?
La place et le statut de l’erreur sont au cœur des débats autour de ce que l’on appelle le travail par compétences. Une occasion de lever des malentendus, de dissiper des incompréhensions, d’éviter en particulier la confusion entre cette approche et la pédagogie par objectifs.
Que donne le rapport à l’erreur lorsque les copies circulent par le biais du courrier électronique ? Un dispositif proposé à des étudiants, pour des productions écrites en anglais.
Récit de la recherche de l’outil, un peu magique, qui rendra les corrections utiles, encourageantes, sans prendre tout son temps à l’enseignant.
Deux dispositifs de passation de devoirs sur table, visant à modifier le rapport à l’erreur des lycéens. Resterait à faire évoluer leur rapport à la note, autre sujet…
Quelques exemples d’utilisation d’erreurs en mathématiques au collège, en commençant par les reconnaitre comme bien utiles aux apprentissages.
Renverser les rôles, en plaçant les élèves en situation de correcteur d’un sujet d’examen, ici de CAP, pour qu’ils prennent conscience des critères d’évaluation, de la nature et de l’importance des erreurs qu’ils auront à éviter.
Présentation de dispositifs plus divers que la dictée pour utiliser les erreurs, ici dans la maitrise de la langue, de façon explicite et utile.
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