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Couper l’aide sociale aux familles : une mesure injuste et inefficace

Nous le savons déjà : réduire les ressources des parents après des actes délinquants commis par leurs enfants ne résout pas le problème de la violence, d’autant que cette mesure exonère de fait les jeunes des familles aisées. Il faudrait, au contraire, proposer une démarche coéducative, axée sur la prévention. L’école ne doit pas stigmatiser mais tendre la main aux plus fragiles, comme le montrent depuis des années les travaux de pédagogues et de sociologues.

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Pour une discipline intelligente

Périodiquement reviennent sur le tapis la question de l’ « autorité », les accusations d’une école trop laxiste, la demande de toujours plus de sanctions, plébiscitée dans les sondages. Les grands prêtres du « Yaka » sévissent alors et il est difficile de faire entendre une autre voix, même quand il s’agit d’experts particulièrement qualifiés et au fait de ce qui se passe sur le terrain. C’est pourquoi il est utile de donner la parole à Éric Debarbieux.

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Semaine de quatre jours : l’argumentaire à charge d’un parent d’élèves

Ce père de deux enfants scolarisés dans une commune du Rhône, représentant des parents d’élèves dans leur école, est aussi chercheur en biologie, enseignant à l’Université. L’argumentation scientifique lui tient à cœur de par son métier, il a donc lu avec attention les rapports sur les rythmes scolaires afin de se forger son propre avis, qu’il a exposé à d’autres parents élus de sa commune.

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L’éducation à la sexualité aujourd’hui : que devient la loi de 2001 ?

Comme pour bien d’autres progrès, les avancées en matière d’éducation à la sexualité s’accompagnent de résistances et demandent, pour être consolidées, l’action volontariste des acteurs de terrain. C’est ce que nous rappelle l’auteure en parcourant l’histoire mouvementée de cette thématique dans l’école. À lire bientôt : le dossier du numéro d’avril-mai 2020 des Cahiers pédagogiques sur l’éducation à la sexualité.

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L’EMI au carrefour des apprentissages formels, informels et non formels

Sans entrer dans le débat sur la pertinence de ce triptyque on a coutume de distinguer une éducation soumise à un cadre (souvent institutionnel) conçu pour l’apprentissage, selon des processus cadrés et des objectifs spécifiques et certifiants : il s’agit là de l’éducation formelle ; une éducation s’effectuant hors ces cadres mais conçue dans une visée d’apprentissage claire : ce serait ici le cas de l’éducation non-formelle ; et une éducation portée par des processus d’apprentissages non balisés ou pensés comme tels, dans des environnements qui ne sont a priori pas contraints par des cadres éducatifs : nous retrouvons ici l’éducation informelle.

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Du bon usage des recherches

Pour Édouard Gentaz, les recherches peuvent être utiles si on ne va trop vite vers des conclusions et des certitudes insuffisamment étayées, si elles ne confondent pas leurs finalités avec celles des pratiques pédagogiques. Est-ce bien ainsi que le ministère actuel voit les choses ? Pas vraiment !

9

La coéducation existe-t-elle vraiment ?

Alors que Jean-Michel Blanquer a présenté au gouvernement, le 5 décembre 2018, son projet de loi « Pour une école de la confiance », il est utile de revenir sur la notion de coéducation entre les acteurs éducatifs : école, parents et collectivités. La loi de refondation de 2013 avait favorisé leur rapprochement, mais le projet de loi de Jean-Michel Blanquer ne mentionne par exemple les familles que pour les appeler au « respect de l’institution scolaire, dans ses principes comme dans son fonctionnement ».

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Pour une évaluation humaniste

Sommes-nous condamnés aux assauts toujours recommencés d’une accablante fièvre évaluative ? Pourquoi donc évaluer ? Tâchons d’y voir plus clair en examinant quatre grandes raisons, qui renvoient à des enjeux d’ordre différent.

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Le défi du climat doit être aussi un défi pour l’école !

Au moment où s’ouvre la COP24, l’auteure, connue pour de nombreux travaux sur l’éducation, veut promouvoir une conception écologique de l’école et nous indique quelles sont les grandes questions qu’il est indispensable d’aborder avec les élèves. Aux pédagogues de trouver les moyens d’opérationnaliser cette perspective.

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Un populisme éducatif en France ? Soyons sérieux…

Dans l’Éducation nationale, les réformes se suivent parfois à un rythme effréné, au gré des changements de majorité politique, dans un temps court peu compatible avec le temps de l’école. On se prend à rêver d’un consensus national qui permettrait d’installer une réforme dans un temps long. C’est peut-être faire fi de ce que Xavier Pons appelle le « populisme éducatif ».