Franchir les frontières invisibles
Quand coenseignement et coapprentissages permettent l’intégration d’élèves de Segpa et de franchir la frontière invisible dans une classe ordinaire.
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Quand coenseignement et coapprentissages permettent l’intégration d’élèves de Segpa et de franchir la frontière invisible dans une classe ordinaire.
Les lycées professionnels ont été les premiers à systématiser la co-intervention qui implique des remises en question à plusieurs niveaux : enseignants, pédagogie, organisation administrative. L’accompagnement administratif devient prépondérant. L’exemple d’un lycée de l’Oise.
Comment la co-intervention s’est progressivement construite entre deux enseignantes, l’une professeure de français et l’autre professeure d’histoire.
Dans une classe unique, le témoignage d’un dispositif de coenseignement en milieu rural et montagnard : oser coenseigner, sortir des chemins battus, sauter le pas et prendre le risque.
Le dispositif PDMQDC (Plus de maitres que de classes) en déshérence alors qu’il n’a pas été évalué, vécu de l’intérieur par une professeure des écoles.
Lieu à part, organisations multiples, le CDI est un des lieux importants de la co-intervention. Une invitation à la rencontre, de la part d’une professeure documentaliste, pour des partenariats multiples en co-intervention.
Exercer en maternelle conduit inexorablement à être plusieurs adultes dans un même espace. Ce partage de l’espace s’accompagne d’un partage des missions et des responsabilités avec une Atsem (agent territorial spécialisé des écoles maternelles) et d’une prise en compte de sa nouvelle professionnalité.
Quelles surdéterminations peuvent faire obstacle à une co-intervention entre une enseignante spécialisée et une éducatrice spécialisée ? C’est une des questions que pose cette professeure des écoles spécialisée dans sa collaboration avec une éducatrice spécialisée auprès d’enfants déficients visuels.
Comprendre les différents types de co-intervention entre enseignants spécialisés et enseignants des classes pour mieux coconstruire les projets autour des élèves en difficulté et construire une école plus inclusive, c’est le projet d’une recherche en cours à la Fédération nationale des associations de maitres E (Fname).
« Droit, tordu…», comment la remarque d’un élève sur la forme d’un angle met en réflexion une classe et ses enseignantes.
La co-intervention peut être un temps fort d’autoformation et de formation réciproque, à l’exemple des échanges entre une professeure des écoles et une maitresse E du Rased (Réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté).
Le formateur est un personnage étrange qui s’invite dans des groupes parfois établis. Cette étrangéité, renforcée par la co-intervention, peut être favorable à la mise en réflexivité des stagiaires et à l’accueil de l’autrement que prévu.
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