Ce que disent les élèves
Que disent les enfants de maternelle de leur classe, de leur école, et de l’accueil qui leur y est réservé ? Et que pensent-ils de ce qu’ils y apprennent ?
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Que disent les enfants de maternelle de leur classe, de leur école, et de l’accueil qui leur y est réservé ? Et que pensent-ils de ce qu’ils y apprennent ?
La scolarisation d’un enfant dit différent n’est pas sans poser problème, en Belgique comme en France. Le système de l’enseignement spécial qui accueille en Belgique les enfants handicapés est supposé les aider à revenir ensuite dans le cursus normal. Supposé seulement…
Un point de vue inhabituel sur les relations entre les enseignants de maternelle et les Atsem qui travaillent avec eux.
À travers l’exemple de la découverte d’un livre de jeunesse, on voit qu’en construisant du sens en réseaux, les enfants deviennent capables de développer des interactions verbales denses, de différents types, qui sont autant de prises de parole culturelles.
En raison de sa neutralité affichée, on prenait la Suisse pour un pays pacifique. Mais voilà qu’elle vient de relancer la polémique sur l’apprentissage des langues nationales à l’école primaire. Traditionnellement, en Suisse allemande on apprend le français et en Suisse romande (ou francophone), l’allemand dès l’âge de 8 ans. Pourtant, déjà en 2004, il […]
CRAP-CAHIERS PÉDAGOGIQUES Mardi 21 octobre, ont eu lieu les 4es Assises de la pédagogie. Dans la salle comble, en cette journée de réflexion, d’échanges et d’ateliers du CRAP-Cahiers pédagogiques, le programme est clair, se repose la question du changement dans l’école : « Le changement, c’est maintenu ? ». Question tout ce qu’il y a de plus sérieux.
Julie Zerlauth-Disic a coordonné le projet de la consultation nationale des 6-18 ans de l’Unicef France auprès de 11 232 enfants et adolescents (dont 7 005 âgés de 12 à 18 ans) rendue publique le 23 septembre 2014 (titre : « Écoutons ce que les enfants ont à nous dire »).
L’introduction de la scolarité obligatoire à 4 ans dès 2009 en Suisse, accompagnée de l’introduction d’un nouveau plan d’études romand (PER) a fait apparaitre de nouveaux dilemmes pour l’enseignant du premier cycle. Ce mouvement de clarification des objectifs en début de scolarité, accompagné d’une demande institutionnelle d’évaluation précoce, standardisée et fréquente, semble renforcer dans les pratiques enseignantes la nécessité d’évaluer les apprentissages disciplinaires, au détriment de la valorisation d’aspects développementaux.
Qui n’a pas rencontré l’enfant agressif, perturbateur, querelleur ? Au banc des accusés, la diversité des modèles familiaux, la perte des repères et des civilités, la démission des parents, la pression scolaire, les enfants oubliés, insécurisés, le climat interrelationnel déréglé, le manque de formation, le déterminisme socioéconomique, la médiatisation abusive. Chercher plutôt le filtre de la complexité pour mieux se saisir du problème.
Dans une société aujourd’hui trop pressée de voir grandir ses enfants au risque de briser une construction encore très fragile pour certains d’entre eux, puissent les professionnels de la petite enfance faire entendre ensemble leur voix et se faire la cause de la lenteur et de la pluridisciplinarité dans l’accompagnement du tout-petit.
En septembre 2013, le conseiller pédagogique de circonscription d’une école parisienne propose à l’équipe de revenir sur la scolarisation de Pierre, qui a beaucoup marqué l’école, et de dresser un bilan sur l’accueil de cet enfant porteur de handicap. Au fil de ces concertations, la parole se libère, les enseignants reviennent sur leurs difficultés et amertumes. Très vite, la problématique de la relation avec la famille a mobilisé la plupart des réflexions.
Comment les parents des élèves reçoivent-ils les évaluations et appréciations de leurs enfants par les enseignants de maternelle ? Ces deux témoignages mettent en avant la nécessité de communiquer et d’expliquer, en confiance.
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