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Enquête en cours

Au Québec, malgré bien des difficultés, l’approche par compétences reste prévue par les programmes, et donne un cadre pour faire évoluer les pratiques, progressivement. Un exemple avec des élèves invités à devenir détectives de l’Histoire.

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Remonter le temps, soulever les montagnes

L’approche par compétences ne va pas de soi en histoire-géographie, est en tout cas loin de la conception ordinaire de ces disciplines. Dans les représentations, voire encore parfois dans la réalité, l’enseignement de l’histoire-géographie est affaire de transmission au sens le plus étroit, de mémorisation de contenus, d’évènements datés, de lieux sur une carte. Si […]

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Histoire et socle commun : double lecture

La Belgique, comme le montre Jean-Louis Jadoulle dans ce dossier, ou le Québec qu’évoque ici l’auteure, se sont engagés dans de profondes révisions des progammes d’histoire du côté d’un enseignement par compétences. Le socle commun à la française participe-t-il de la même démarche ? Peut-on en attendre une évolution des pratiques d’enseignement ?

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Résoudre des problèmes

On réduit souvent l’histoire à de la mémorisation, en théorisant même parfois jusqu’à en faire un préalable : on ne raisonne pas sur rien, n’est-ce pas ? Entrer par des problèmes sur lesquels exercer sa réflexion est pourtant un moyen beaucoup plus sûr de mobiliser les élèves, et donc de les faire apprendre.

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Complexe ne veut pas dire compliqué

Quelques repères essentiels sur l’approche par compétences dans le cadre particulier de la didactique de l’histoire-géographie, en particulier autour de la notion de « tâches complexes » : pas tant une révolution des modalités d’enseignement qu’une organisation cohérente de différentes activités déjà souvent pratiquées autour d’un objet d’études.

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À la recherche de l’essentiel

Quand on aborde le travail par compétences, on a souvent tendance à multiplier les items à évaluer, au risque de s’y noyer. Ce qui peut faire changer effectivement les pratiques avec les élèves serait donc plutôt de se centrer sur leur petit nombre de compétences, au sens fort du mot.

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Comment ouvrir les portes du passé historique et du monde actuel à tous ?

En juin 2007 est paru un document officiel1 visant à établir des « correspondances » entre les programmes d’histoire-géographie et le socle commun de connaissances et de compétences. Ce texte est révélateur de la difficulté à passer de la logique habituelle des programmes à celle du socle commun, d’une prescription de ce que doivent enseigner les professeurs à la définition d’un minimum que les élèves doivent apprendre.

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À rebours et en détours

« L’histoire, ça ne sert à rien », « l’histoire, c’est pas pour moi » ! Sans entrer dans un débat de fond, peut-on admettre que, peut-être, pour certains de nos élèves, l’histoire, hélas, ne sert à rien et qu’il n’est pas anormal qu’elle leur semble parfois effectivement très éloignée de leurs préoccupations et de leur quotidien ? Et si l’approche par compétences, loin de parcelliser le travail de l’élève, au point de lui en faire perdre le sens et le gout, pouvait aider à plonger dans le passé ?