Nouvelle recherche

Si vous n’êtes pas satisfait(e) des résultats ci-dessous, vous pouvez lancer une autre recherche

27 résultats de recherche pour :

4

Grilles, fiches et portfolio

Peut-on faire en sorte que l’évaluation, domaine réservé du professeur, soit aussi l’affaire des élèves et serve davantage aux apprentissages qu’à la sélection ? Une expérience conduite concrètement en histoire-géographie au collège et où on utilise des outils formatifs : des grilles de réussite par compétences et le portfolio.

6

Le procès de la note

Depuis dix ans, j’ai fait le choix d’abord audacieux puis tranquillement assumé, de ne plus mettre de notes à mes élèves, y compris sur leurs bulletins scolaires. Ils sont très régulièrement évalués, mais tous les travaux (devoir à la maison, contrôle, interrogation, travail de groupe, etc.) sont appréciés sur une grille de compétences annuelle avec trois […]

7

Pas de précipitation

Le bac, le moins mauvais des systèmes d’évaluation des connaissances ? Peut-être. Par rapport au contrôle continu qui désavantage les élèves les plus faibles et renforce presque fatalement « l’effet-établissement ». Par rapport à un système plus décentralisé qui ne peut que renforcer des tendances particularistes et concurrentielles dans le système éducatif. Commençons par former les enseignants à la notation et les présidents de jury à la décision.

8

L’évaluation formatrice

On connaît maintenant le concept d’évaluation formative introduit par Scriven en 1967. Fille aînée de la pédagogie par objectifs, l’évaluation dite « formative », se proposait : D’affiner les outils de mesure pour mieux évaluer la maîtrise des objectifs plus soigneusement définis. […] D’apporter des informations sur la démarche de production de l’élève, et non […]

9

Vers l’évaluation formative et l’école du regard…

Dans les années soixante-dix, pour « piloter les apprentissages » par l’évaluation, comme le souhaite ci-dessus Philippe Perrenoud, on s’inspira fortement de la pédagogie par objectifs (PPO). Plus qu’un objectif à proprement parler, cette théorie entend déterminer très précisément ce qui est attendu comme résultat en partant d’un comportement observable, des conditions dans lesquelles le comportement souhaité doit se manifester, du niveau auquel doit se situer l’activité terminale de l’apprenant et des critères qui serviront à évaluer le résultat.

10

Mesure ou arrangement ?

Le modèle évaluatif de l’école reproductrice des structures sociales n’est pas satisfaisant et repose sur la fiction de représentations et d’attentes qui seraient partagées dans tout le système éducatif. L’auteur propose ici le modèle de l’évaluation comme « arrangement » qui rend mieux compte de l’extrême diversité des pratiques évaluatrices des enseignants et du grand nombre de variables qui l’expliquent.

11

Outil de pilotage ou pare angoisse ?

Parce que l’école sélectionne, fait réussir ou échouer, et donc exclut, les parents s’angoissent pour l’avenir scolaire de leurs enfants. Ils ont en permanence les yeux fixés sur les notes obtenues, sans remettre en cause la validité même de cette façon de mesurer les acquis. Faut-il alors supprimer les notes ? Comment utiliser autrement l’évaluation ?

12

Ressources

Ouvrages généraux Astolfi (J.-P.), 1997, L’erreur, un outil pour enseigner, Paris, ESF. Cet ancien rédacteur en chef des Cahiers avait su trouver la formule heureuse pour accorder à l’erreur toute son importance dans l’apprentissage. Maubant (Ph.), Groux, (D.), Roger (L.) (dir.), 2014, Cultures de l’évaluation et dérives évaluatives, Paris, L’Harmattan, collection éducation comparée. Fait le […]