Publications par Michèle Amiel

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Esprit du cycle es-tu là?

Quels objectifs ont présidé à la rédaction des programmes de cycle 4 ? Si, bien sûr, il s’agit de les articuler au mieux avec ceux du cycle 3, d’éviter les redites, il faut aussi prendre en compte les bouleversements qui sont à l’œuvre chez les élèves à cette période charnière de l’adolescence, pour les mener vers la complexité et l’abstraction, mais aussi les outiller sur le chemin de l’autonomie et de l’esprit d’analyse.

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Donner le temps d’apprendre

« Les cycles ? C’est une belle idée, mais sur le terrain ça ne marche pas. » Combien de fois avons-nous entendu et prononcé cette formule qui sonne comme une sentence depuis 1991 ? Les programmes de cycle, tout justes publiés, sont découpés en objectifs annuels par des manuels, par des équipes qui, faute d’outils, faute de […]

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Ce document ne sert à rien !

L’analyse de documents est à la base du travail en histoire. Pourtant, faute de recul face à ceux-ci ou à cause d’un malentendu sociocognitif bien réel, nombreux sont les élèves qui n’arrivent pas à voir dans les documents qu’on leur propose des sources à interpréter ou à critiquer, afin d’entrer vraiment dans la démarche historienne.

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Empire, vous avez dit Empire ?

Répondre à une question ouverte au collège, trop difficile ? Un travail d’appropriation, de tri et de confrontation des connaissances et des idées permet aux élèves d’aboutir à une réflexion globale sur un sujet donné.

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Israël : quelle histoire enseigner ?

Entre la nécessité d’une histoire plus scientifique et l’écriture du roman national, entre mythistoire et évitement de la réalité de certains faits historiques, quels sont les enjeux qui ont traversé et traversent encore aujourd’hui l’enseignement de l’histoire en Israël ?

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Pas d’Histoire sans histoires

Gommer les frontières entre les disciplines, pour mieux les appréhender au final, et utiliser la littérature de jeunesse pour faire entrer les élèves en Histoire. Réflexions sur une démarche au service du plaisir et de l’esprit critique.

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Devoir d’Histoire

Un travail sur le génocide des Arméniens peut être une porte d’entrée pour l’étude des génocides, des crimes contre l’humanité et des crimes de masse et déboucher sur une réflexion sur l’articulation entre « devoir de mémoire » et « devoir d’histoire ».