Pour éviter la reconversion

Avant. Après. Ou comment le déclic de la classe inversée peut tout changer dans la pratique d'une enseignante.

Pour une éducation émancipatrice, le CAPE appelle au vote contre le Front national

A l'heure où notre société est confrontée à des transformations inédites, seule une politique éducative publique imaginative, ayant pour mission l'élévation de la citoyenneté démocratique faisant appel à toutes les forces éducatrices,…

45 organisations appellent à repousser la tentation de l’extrême droite

L’ESPER est une association située à la croisée des mondes de l’éducation et de l’économie sociale et solidaire. Elle représente quarante-cinq organisations agissant dans le champ de l’éducation (mutuelles, associations, coopératives et syndicats).
,

Refaire alliance

La mise en place du parcours professionnel carrières et rémunérations, le PPCR, amène à inventer une nouvelle forme de rencontres professionnelles entre les enseignants et les inspecteurs. En effet, lors des rendez-vous de carrière qui…

«Un des principaux objectifs de la politique de prévention est de retarder l’entrée dans les consommations.»

François Beck est directeur de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT). Sociologue et statisticien, il travaille depuis plus de vingt ans sur les conduites addictives. Nous faisons ici le point avec lui sur la prévention des comportements des adolescents en matière d'addiction.

Enseignement agricole : pour les CDI, le réseau fait la force

Le rôle du professeur documentaliste a été tôt reconnu dans l'enseignement agricole. Il se déploie aujourd'hui en réseau dans des mutualisations de projets, des échanges de pratiques. Natacha Robert, professeure documentaliste au lycée agricole d'Auch et animatrice du réseau des des documentalistes de l'enseignement agricole en Occitanie (Réseau d’Oc) nous raconte cette version aux accents verts et vifs de son métier.
,

67 millions de spécialistes de l’école

Depuis plusieurs années, Philippe Watrelot, sur son blog, sur les réseaux sociaux, dans les médias qui l’ont invité, s’est attaché à déconstruire idées reçues et simplismes concernant l’éducation. Ancien président du CRAP-Cahiers…

Antidotes

« Le niveau scolaire baisse, c’est la catastrophe », « les pédagogistes prétentieux détruisent le savoir et la culture et minent l’autorité du maître », « on n’enseigne plus l’histoire nationale », « l’école d’aujourd’hui est une machine de guerre égalitariste contre les élites »… Que de déclarations qui ne sont le plus souvent fondées sur aucune étude sérieuse, aucune enquête de fond, sont ainsi proférées par des politiciens en quête de suffrages ou d’intellectuels se croyant experts et se montrant indignes de la rigueur exigeante qu’ils prônent dans d’autres domaines ! Et en période d’élection présidentielle, c’est encore pire ! Au lieu de débattre du fond (comment parvenir à une école plus juste et plus efficace), on préfère lancer des slogans ou des formules qui sont, au mieux, la manifestation de préjugés, mais purement et simplement des mensonges.

Ne pas renoncer à mettre l’élève au centre du système

Mettre l’élève au centre du système n’a rien à voir avec la consécration de l’enfant-roi. Postuler l’éducabilité de chaque enfant/élève, ce n’est pas renoncer à la transmission de savoirs. Démonstration.

Les Savanturiers : le chemin de l’investigation scientifique

Faire de l’élève le chercheur de ses savoirs, de l’enseignant un pédagogue-chercheur, l’idée des Savanturiers est née d’une rencontre entre Ange Ansour, une enseignante en recherche permanente, et François Taddei, un biologiste investi dans les questionnements sur l’éducation. Rencontre avec un dispositif qui mise sur l’ouverture de l’école vers la démarche scientifique d’investigation pour que les apprentissages soient les fondations d’une intelligence en construction.

Réponse à une étude critique sur les RASED

Une étude IREDU est sortie en février 2017, sous le titre « Quels effets du passage en RASED sur le parcours des scolaires des élèves », étude critiquant fortement le dispositif d’aide aux élèves en difficulté, jugé inefficace et contre-productif. Nous avons demandé à la présidente de la FNAME, association amie, de nous donner son point de vue et de nous présenter les bonnes raisons de continuer à soutenir les réseaux d’aide.
,

Suffit-il de savoir pour savoir enseigner ?

Il paraît que pour bien enseigner, il suffirait de maitriser son sujet, d’avoir des savoirs universitaires disciplinaires à transmettre. Le reste serait inné, sans doute ? Drôle de métier, qui ne connaitrait pas de « gestes » professionnels, qui ne nécessiterait pas de formation continue… Et si l’enseignement était plutôt un métier qui s’apprend ?