Le sésame
J’ai enfin eu mon sésame ! Un congé de formation long, de sept mois ! Sept mois pour souffler, sept mois pour prendre de la hauteur, pour réfléchir, pour changer et évoluer professionnellement !
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J’ai enfin eu mon sésame ! Un congé de formation long, de sept mois ! Sept mois pour souffler, sept mois pour prendre de la hauteur, pour réfléchir, pour changer et évoluer professionnellement !
Jean Oury, le frère de Fernand, s’était fait la promesse de ne jamais oublier qu’il avait été un enfant. Je crois, alors que ma carrière d’enseignant est maintenant terminée, que j’ai plutôt réussi à suivre ce conseil.
Nous sommes en salle informatique. J’accompagne un groupe d’élèves de CM1. Ils doivent recopier au propre le portrait qu’ils ont réalisé d’eux à partir du questionnaire de Proust.
17 h 30, j’arrive chez le dentiste et, comme d’habitude, la salle d’attente est pleine. Une jeune femme est là avec ses deux enfants. Un garçon qui doit avoir 8 ou 9 ans et un bébé dans un landau.
Du ramassage de marrons à la diffusion des connaissances scientifiques. Entretien avec Bruno Maquart, directeur d’Universcience, qui regroupe à Paris la Cité des sciences et de l’industrie et le Palais de la découverte.
Les enseignants et les enseignantes font face à des défis générant stress, fatigue et frustration. Des conditions de travail exigeantes, avec une lourde charge horaire, une reconnaissance insuffisante, des obligations administratives accrues et des ressources limitées contribuent au surmenage et altèrent la qualité de vie au travail.
« Ce n’est pas parce qu’on va imposer une tenue unique aux élèves qu’ils se mettront à mieux apprendre ! » C’est en ces termes que s’agaçait, sur une grande radio nationale, un responsable syndical, en réponse aux annonces du ministre dans la foulée des résultats de PISA 2023.
Faire huit à dix webinaires par an avec une équipe entièrement bénévole. C’est le genre de pari fou qu’on fait au CRAP-Cahiers pédagogiques. Voici les dessous révélés de cette aventure.
Pas facile de faire la recension de cet épais ouvrage, tant sont variés et riches les apports sur « les permanences et mutations » du métier, de la condition d’enseignant depuis le XVIIIe siècle.
Langages, littératures et orthographe de 1990 : l’enseignement du français vu par l’AFEF (Association pour l’enseignement du français) est ouvert et critique.
« On ne peut pas enseigner contre les élèves mais avec les élèves ! », conseillait une formatrice à un étudiant stagiaire. Nul ne peut se substituer à l’élève dans sa mise en activité cognitive…
En maternelle, un projet collectif a pris corps progressivement pour faire face aux difficultés particulières des après-midi.
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